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MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite
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Melody S. Cooper-Fawkes
✿ PSEUDO : Crazy Bunny
☂ AVATAR : Nina Dobrev
► PAYS : Belgique
► POINTS : 240
► BIRTHDATE : 10/01/1989
► MESSAGES : 186
► BOUGIES : 35
► REGISTRATION : 15/07/2012

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MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  Tumblr_lro7q6gkih1qbmw3bo1_500 ► AGE : ... à venir
♥ LOVE : Célibataire
► SPORT : Football&Gymnaste
► SURNOMS : Mel, Mely, Melo, Melo Cake, Cake, Caky, Ode, Sab' en fait... vous voyez. Je suis le genre de fille qui se retourne pour un oui ou un non donc je suis sûre que je réagirais.
► CITATION : En amour comme à la guerre tous les coups sont permis !

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MessageSujet: MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite    MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  I_icon_minitimeVen 24 Aoû - 23:28
MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  Tumblr_m8r8xdyLjC1ruwjww
Et merde, c’était l’enfer. J’étais avec la fichue perruque censée ressembler aux cheveux de Matthew et je la retirais rapidement dans la voiture. Je venais de mon entrainement de foot us enfin après une douche. Non mais que croyez-vous ? Il était plus de 20 heures et j’étais en retard de 20 minutes au bowling. Je me changerais rapidement en Melody pour finir par aller en courant vers l’entrée. Directement et sans faire attention à la présence du patron au bar, j’allais vers les vestiaires. Pourquoi avais-je choisie ce job ? Je n’en savais rien. J’étais un peu endolorie au bras à cause des entrainements peut-être un brin trop agressif pour moi. Je regardais le léger coup en soupirant avant d’enfiler la jupe bouffante style Grease et de faire ma queue de cheval. Quel look. J’avais vraiment mais vraiment la classe comme ça, tiens. Je soupirais doucement en me regardant dans la classe avant d’enfiler les chaussures de bowling. Vous allez me dire que je porte une bien curieuse tenue mais les serveurs du bowling devaient toutes être dans le thème de la semaine et chaque semaine ? Les époques étaient différentes. Cette fois ? Les années 60 environs. J’inspirais en haussant les épaules avant de mettre le petit gilet assorti qui était juste parfait pour recouvrir mon bleu. On allait me prendre pour une femme battue, je vous jure.

Je posais mes ballerines sur le côté et mes fringues avant de remettre une touche de gloss et sortir des vestiaires. Une fois arrivée, comme l’on me l’avait indiquée, j’attrapais un plateau en souriant et allant vers le bar. Le patron me regardait en riant nerveusement. « Vous êtes en retard, mademoiselle Cooper ! », je fronçais les sourcils. Oh mon dieu, je détestais quand on m’appelait seulement Cooper mais je ne pouvais rien dire et ne pas relever était compliqué pour moi. C’était comme ça, j’aimais bien être franche et quand un truc n’allait pas, je le disais cependant là. C’était mon patron. Je n’avais jamais été : employée. Toujours avec mon père pour portefeuille. Je n’avais même pas besoin de bosser. Une bonne excuse pour fuir au possible le camp enfin faire comme si je n’y étais pas toujours hors des cours. Tout concilier était bien compliqué parfois. « Désolée, j’avais entrainement… enfin… », je souriais doucement. J’étais en fait surtout coincée en devant utiliser les douches après les hommes pour retirer ce bandage qui serrait ma poitrine et paraitre : juste musclée. Il me regardait en souriant. « Ce n’est rien ! Il faut laver les verres sales, tu peux t’en charger ? », comme un petit soldat qui partait à la guerre, j’hochais la tête. « Tout de suite ! », soufflais-je en allant aussitôt à la plonge et m’occupant verre par verre et énergiquement. Je passais de verres en verres en ignorant un peu la présence des clients pour l’instant. Cela se remplissait vraiment vers 20.45 donc j’avais un bon quart d’heure devant moi à m’occuper des verres de l’après-midi. Ma collègue s’occupait de distribuer les chaussures. Je n’étais pas toujours serveuse. Je faisais parfois la location aussi mais plus rarement. Je n’aimais pas trop mettre mes mains dans celles-ci. J’inspirais profondément en entendant une musique qui passait et je souriais en me mettant à la chantonner alors que des clients arrivaient pour aller aux pistes et s’installaient en groupes. Ils s’occupaient de mettre leurs chaussures et je posais les verres en m’essuyant les mains avant de prendre mon tablier et l’enfiler. Je me dandinais un peu au son de la musique en riant un brin. Je quittais alors le bar en allant en direction des pistes et prenant un plateau pour ramasser deux ou trois bouteilles et verres abandonnés alors que je posais le plateau sur le, je sortis un calepin en approchant de la première piste, je prenais rapidement les premières commandes avant d’aller à la suivante et encore la suivante. Je voulais prendre le plus possible pour ainsi les laisser commencer leur partie. Alors que j’arrivais à la piste 4, je croisais juste son regard. Mon reflex ? Faire comme si de rien n’était. Peut-être comprendrait-il que c’était surtout pour être sérieuse au boulot ? Oui, faire mon boulot. Utilisons cette excuse. « Hey ! », soufflais-je tout de même à son intention. Je prenais la commande de tout le monde et ainsi lui aussi brièvement. Un sourire tout de même s’affichait sur mon visage avant que je ne détourne mon regard pour la table suivante. Je ne pouvais pas faire autrement que de lui sourire malgré tout même si cette histoire de fiançailles était surement la goutte d’eau qui faisait déborder le vase. Les voir en couple était pénible. Oui et pourtant à qui la faute. Pourquoi me comportais-je comme ça avec lui avant ? Je n’avais rien tentée, même pas une seule seconde. J’étais jouée l’autruche alors que qui ne tente rien n’a rien. J’inspirais en allant vers le bar. Me retournant brièvement pour regarder en direction de sa piste. Ne l’apercevant que de dos, j’allais alors au bar en préparant les commandes. Plusieurs sodas, des vodkas, de l’eau aussi et un café pour une femme plus âgée. Je ne savais pas vraiment préparer des cafés ce qui devenait même un peu drôle. Me débâtant un peu avec la machine, je soupirais doucement en roulant des yeux et finissant par la poser le temps que je me remonte. Oui, remonter. J’étais un peu nerveuse de sa présence. Je roulais des yeux en allant continuer les commandes toutes simples. J’inspirais en versant les boissons dans les verres sagement. Une fois posée, je retournais aux tables pour ramener les boissons, je commençais tables par tables avant d’arriver à nouveau à la sienne.
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Mattéo R. Leoni
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MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  1346420959-1 ► AGE : 22 ans
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MessageSujet: Re: MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite    MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  I_icon_minitimeSam 25 Aoû - 20:49

Plus je suis loin de toi, mieux je me porte


Mattéo & Mélody

ENTRAINEMENT INTENSIF, VOILA L’ORDRE DU JOUR, NOTRE PROFESSEUR DE FOOTBALL AVAIT DÉCIDE DE NE PAS Y ALLER DE MAIN FORTE AUJOURD’HUI. POUR CAUSE NOUS AVIONS DANS UNE SEMAINE UN MATCH PLUTÔT IMPORTANT CONTRE UNE ÉQUIPE DE LA CALIFORNIE ET C’ ÉTAIT UN MATCHE TRÈS SÉRIEUX EN EFFET IL Y AURAIT DES RECRUTEURS ET C’ ÉTAIT UNE TRÈS BONNE OCCASION POUR NOTRE FUTUR CARRIÈRE. LES HEURES PASSAIENT ET J’ ÉTAIS COMPLÉTEMENT CREVÉ. J’AURAIS PU TOUT AUSSI BIEN DÉCIDER DE RESTER BIEN TRANQUILLEMENT AVEC MA PETITE FEMME MAIS MES POTES M’APPELAIENT POUR ALLER FAIRE UN BOWLING ET J’EN AVAIS FORTEMENT ENVIE. APRÈS TOUT QUOI DE BIEN QUE S’AMUSER AVEC SES POTES POUR DÉCOMPRESSER. JAMIE N’ ÉTAIT PAS DU TOUT CONTRE SUR LE FAIT QUE JE PASSE LA SOIRÉE AILLEURS. C’ ÉTAIT VRAIMENT UNE FILLE EN OR MAIS MALHEUREUSEMENT MALGRÉ L’AMOUR QUE JE PORTAIS POUR ELLE JE SAVAIS QUE MON CŒUR N’ ÉTAIT PAS SATISFAIT A 100%. JE PRIS UNE PETITE DOUCHE POUR ÊTRE TOUT PROPRE, PUIS J’AVAIS ENVIE DE MANGER UN PEU, JAMIE RESTA EN DÉBUT DE SOIRÉE AVEC MOI, HISTOIRE QUE NOUS NOUS RETROUVIONS UN PEU APRÈS UNE BONNE JOURNÉE DE COURS. PUIS IL ÉTAIT L’HEURE DE REJOINDRE MES POTES CE QUE JE FIS. NOUS AVIONS RENDEZ VOUS DANS UN BAR, NOUS AVIONS DÉCIDES DE BOIRE UN PETIT COUP AVANT DE CE RENDRE AU BOWLING. LES MECS COMMENÇAIENT A DRAGUER, JE RIGOLAIS, C’ ÉTAIT BIEN LOIN L’ ÉPOQUE OU JE FAISAIS DE MÊME OUI J’ ÉTAIS UN HOMME FIANCE MAINTENANT. D’AILLEURS CERTAINS NE COMPRENAIENT PAS POURQUOI JE NE PROFITAIS PAS DE MA JEUNESSE ET POURQUOI JE VOULAIS A TOUT PRIX M’ENGAGER AUSSI VITE. LA RÉALITÉ ? ÊTRE MARIE JE SAIS QUE POUR MOI C’EST LA SEULE SOLUTION POUR QUE JE M’ ÉLOIGNE DE MELODY. MARIE JE ME DIS QUE JE N’AI PAS LE DROIT A L’ERREUR QUE C’EST POUR LA VIE ET AINSI JE CROIS QUE JE PROTÈGE UN PEU MON PETIT CŒUR DE MELODY CAR JE SAIS QUE JE NE SUIS QU’UN SIMPLE AMI POUR ELLE-MÊME SI DEPUIS L’ANNONCE DE MES FIANÇAILLES JE LA TROUVE TELLEMENT BIZARRE.

SUR LE CHEMIN DU BOWLING, NOUS FAISIONS LES CONS, J’ADORAIS VRAIMENT PASSER DU TEMPS AVEC EUX, ENSEMBLES NOUS ÉTIONS VRAIMENT DE VRAI GAMINS. MAIS C’EST CE QU’IL FAUT DANS LA VIE, ÊTRE SÉRIEUX C’EST BIEN ET C’EST CE QU’IL FAUT MAIS IL FAUT AUSSI SAVOIR S’AMUSER. NOUS RENTIONS DANS LE BOWLING, IL Y AVAIT DÉJÀ DU MONDE ET IL FALLAIT FAIRE LA QUEUE POUR PRENDRE LES CHAUSSURES DE PISTE, QUI PAR LA MÊME OCCASION JE DÉTESTAIS ÇA, ELLES ÉTAIENT SI MOCHE EN PLUS. MAIS PAS LE CHOIX ! UNE FOIS QUE NOUS AVIONS LES CHAUSSURES EN MAINS, ENFIN AU PIEDS JE DIRAIS, NOUS AVIONS UNE PISTE DE LIBRE ET NOUS NOUS Y INSTALLIONS. IL Y AVAIT UNE SERVEUSE QUI PRENAIT LES COMMANDES ET J’AVAIS SOIF, SUR LE COUP JE NE FIS PAS ATTENTION QUE C’ ÉTAIT ELLE JUSQU’À CE QU’ELLE ARRIVE A NOTRE TABLE. ELLE ME SALUA D’UN « HEY » ALORS QU’ELLE SE DÉPÊCHA DE PRENDRE NOTRE COMMANDE ET ELLE PARTIE AUSSI VITE. JE FRONÇAIS LE SOURCILS, POURQUOI PARTIR AUSSI VITE ? NOUS ÉTIONS PAS AMIS ? ET POURQUOI ELLE ICI ? JE NE SAVAIS PAS QU’ELLE BOSSAIT AU BOWLING. JE CROIS QUE C’EST ÇA QUI ME FAISAIT LE PLUS MAL AU FOND. NOUS ÉTIONS DE SI BON AMIS QUE NOUS NOUS DISIONS PRESQUE TOUT. DEPUIS QUELQUES TEMPS, ELLE NE ME DISAIT PLUS RIEN. D’AILLEURS SON FRÈRE M’AVAIT MÊME DIT DE FAIRE ATTENTION A ELLE POUR PAS QU’ELLE RECOMMENCE, JE NE SAVAIS PAS DE QUOI IL PARLAIT. ET IL N’ ÉTAIT PAS AU CAMP MAIS IL Y AVAIT UN MATTHEW SUR LE TERRAIN, MATTHEW COOPER, BIZARRE NON ? TELLEMENT DE SECRET QU’ELLE AVAIT ENVERS MOI, ET J’ ÉTAIS VRAIMENT BLESSE. MELODY REVINT VERS NOUS AVEC NOTRE COMMANDE, JE ME RETOURNAIS VERS ELLE PUIS LUI DIT :

« HEY MELO, QUE FAIS TU ICI ? TU BOSSE ? ENFIN OUI QUESTION BÊTE JE LE VOIS BIEN MAIS DEPUIS QUAND ? POURQUOI TU NE M’AS RIEN DIT ? »

TROP DE TRAVAIL QU’ELLE NE POUVAIT PARLER ET C’EST POUR ÇA QU’ELLE AVAIT PRIT LA FUITE AUSSI VITE TOUT A L’HEURE OU IL Y AVAIT-IL QUELQUES CHOSES D’AUTRES ? JE ME DEMANDAIS PARFOIS SI ELLE NE FAISAIT PAS LA GUEULE, MAIS J’AVAIS BEAU CHERCHER LA RAISON ? AUCUNE RÉPONSE JE COMPRENAIS PAS POURQUOI ET CHAQUE FOIS QUE JE LA VOYAIS ELLE FUYAIT TELLEMENT VITE QUE IMPOSSIBLE D’AVOIR UNE DISCUSSION. JE NE LA COMPRENAIS PLUS JE SAVAIS JUSTE UNE CHOSE C’EST QUE J’ ÉTAIS ENTRAIN DE LA PERDRE ALORS QUE JE N’AVAIS JAMAIS VOULU ÇA MOI. JE N’AIMAIS PAS LA REGARDER DANS LES YEUX, J’AVAIS QU’UNE ENVIE C’ ÉTAIT DE L’EMBRASSER ET CHAQUE FOIS JE DEVAIS ME DIRE « JAMIE, JAMIE » C’EST ELLE TA FUTUR FEMME MATT ! JE NE COMPRENAIS PAS POURQUOI CETTE FILLE M’ATTIRAIT AUTANT JE N’AVAIS AUCUNE CHANCE AVEC ELLE, ET JE DEVAIS FAIRE MON PETIT TRAIN DE VIE MAINTENANT. AVEC JAMIE NOUS VOULIONS FAIRE UNE PETITE BOUFFE AVEC MELO, MAIS CHAQUE FOIS QUE NOUS LUI PROPOSIONS, ELLE AVAIT TOUJOURS QUELQUES CHOSES A FAIRE JAMAIS DISPONIBLE, ALORS QU’AVANT ELLE ÉTAIT TOUJOURS DISPONIBLE POUR SA MEILLEURE AMIE ET POUR MOI AUSSI AVANT QU’IL Y EST UN « JAMIE & MATTEO ». LES TEXTO, LES APPELS ? JE N’EN PARLE MÊME PAS ELLE RÉPOND MAIS LA PLUS PART DU TEMPS UN PEU A COTE DE LA PLAQUE QUAND MÊME OU VITE FAIS COMME CI ELLE ÉTAIT DÉRANGÉE PAR CELA. NON SINCÈREMENT JE N’ARRIVAIS PLUS A RIEN COMPRENDRE.

« TU N’AS TOUJOURS PAS RÉPONDU, TU AS RÉUSSI A AVOIR UNE DATE POUR QUE NOUS MANGIONS ENSEMBLES ? »

MANGER TOUS LES 3 ? EN RÉALITÉ C’EST SURTOUT JAMIE QUI LE VOULAIT, MOI PLUS LOIN J’ ÉTAIS DES DEUX EN MÊME TEMPS MIEUX JE ME SENTAIS CAR CHAQUE FOIS QUE J’ ÉTAIS EN COMPAGNIE DES DEUX MEILLEURES AMIES, JE ME SENTAIS MAL A L’AISE COMME CI J’AVAIS L’IMPRESSION DE LES TROMPER TOUTES LES DEUX ALORS QUE C’ ÉTAIT PAS DU TOUT LE CAS. SEULEMENT JAMIE Y TENAIT VRAIMENT, MOI CE QUE JE VOULAIS SURTOUT C’EST ÊTRE JUSTE AVEC MELO ET AVOIR UNE CONVERSATION SÉRIEUSE AVEC ELLE DU POURQUOI DU COMMENT ! ENFIN EN MÊME TEMPS JE DIS ÇA MAIS CHAQUE FOIS QUE JE LA CROISE J’OSE MÊME PAS PARLER ET JE FAIS COMME CI DE RIEN N’ ÉTAIT ALORS QUESTION COURAGE, JE SUIS VRAIMENT 0 SUR CE COUP LA.

J’ ESSAYAIS DE LA REGARDER DANS LES YEUX, POUR ESSAYER DE COMPRENDRE CE QUI POUVAIT BIEN CE CACHER AU FOND D’ELLE MAIS ELLE ÉTAIT SI MYSTÉRIEUSE, QU’IL ÉTAIT DIFFICILE DE LIRE EN ELLE. LA SEULE CHOSE QUE JE POUVAIS VOIR C’ ÉTAIT SES COURBES SEXY, SANS COMPTER SES AFFAIRES QU’ELLE PORTAIT A MERVEILLE D’AILLEURS JE LUI DIS :

« DIS TU AURAIS PUS NAITRE DANS LES ANNÉES 60, LES AFFAIRES TE VONT A MERVEILLE TU SAIS. »

DE TOUTE MANIÈRE ELLE POURRAIT AVOIR UN SAC POUBELLE SUR LE CORPS QUE JE PENSE QUE JE POURRAIS LA TROUVER TOUJOURS AUSSI SEXY. JE LUI FIS UN PETIT SOURIRE, IL EST VRAI QUE MES COMPLIMENTS ENVERS ELLE ÉTAIT DE PLUS EN PLUS RARE. DANS LE PASSÉE JE LUI EN FAISAIS TOUT LE TEMPS, DU MOINS ASSEZ SOUVENT MAIS DEPUIS JAMIE, JE M’ ÉTAIS CALME. JE NE VOULAIS PAS JOUER AVEC MES PROPRES SENTIMENTS. JE JOUAIS LA CARTE DE LA FIDÉLITÉ ET SURTOUT DE FAIRE ATTENTION A MON PROPRE PETIT CŒUR ET AUTANT DIRE QUE CE N’EST PAS SI SIMPLE QUE ÇA. JE LUI FIS UN PETIT SOURIRE PUIS LUI DIS :

« 10 /10 …. »

J’AVAIS COMMANDER UN CAFÉ, JE VENAIS DE PRENDRE UNE BIÈRE AU BAR OU NOUS ÉTIONS ALLER JUSTE AVANT, JE BU UNE GORGE, ET JE SERAIS LA GORGE PUIS EN RIGOLANT JE LUI DIS :

« LE CAFÉ EUH… 2/10 »

IL ÉTAIT PAS AUSSI BON QUE JE POUVAIS LE BOIRE, MAIS IL N’ ÉTAIT PAS DU TOUT DÉGUEULASSE, JE VOULAIS SIMPLEMENT LA TAQUINER UN PEU..

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MessageSujet: Re: MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite    MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  I_icon_minitimeSam 25 Aoû - 23:46
C’était complexe parfois, être moi-même et tout faire pour ne pas l’être. C’était vraiment compliqué. Là, je me retrouvais à avoir nettement fait comme si je ne le connaissais pas ou presque en allant prendre la commande. Juste un seul mot avait échappé de mes lèvres. Il fallait avouer que je m’en voulais un peu mais pourquoi agissais-je ainsi. Des millions de raisons à vrai dire tout aussi bizarre que les autres. Il était vraiment compliqué d’être l’amie et la femme amoureuse. Rien que là de ses beaux yeux bleus que j’imaginais de loin et même de dos, j’en sentis pâlir mes joues. C’était vraiment la folie parfois. Je pouvais devenir dingue en imaginant juste son toucher. Il était bien plus pratique d’être loin de lui. Il ne risquait pas de me toucher mais quand il était loin, il me manquait. Eloigner l’Object de nos désirs alors que l’on ne peut même pas le désirer… c’est l’enfer. Il fallait vite que j’évite son regard et je savais qu’en amenant les boissons à table, j’allais le revoir. J’étais paniquée à cette idée. En quelques sortes aussi assez frustrée mais pourquoi ? Aucunes idées. Je me décidais à y retourner. Commençant d’abord par les premières pistes. Premiers arrivés, premiers servies. Je posais les boissons en donnant les notes bien qu’ils payeraient en rendant les chaussures. Je souriais doucement à deux ou trois personnes qui semblaient sympathiques. C’était ainsi, rien de plus. C’était de la pure sympathie. Revenant alors rapidement l’instant où j’étais de retour à sa piste et donnant les verres, je restais de marbres sous ses questions. Je regardais ses potes que je connaissais seulement ou presque de vue. Pas les mêmes qu’à New-York. Au fond, on y était plus souvent à deux, à trainer qu’en groupe. J’inspirais doucement en forçant un sourire. Et c’est là que je me sentais mal. Mon regard allait et venait vers lui, vers ses amis et vers la piste. Comment j’allais m’expliquer d’une chose que je ne voulais même pas avouer ? Pas ici, pas maintenant. Je baissais le regard vers mon plateau en posant le dernier verre et me posant conte une sorte de poteau tout en gardant un œil vers le bar. « C’est nouveau, j’avais envie de m’occuper ! », comme si je n’avais pas assez de temps occupé en vivant ma propre vie et celle de mon frère. Sérieusement ? Je n’avais pas assez de temps perdus en étant mon frère que pour en rajouter ? Je baissais le regard en souriant timidement et le relevant vers lui. Un pieu mensonge. C’était mieux pour nous deux. C’était mieux pour Jamie. C’était surement bien trop facile si c’était juste aussi simple de se dépatouiller d’un mensonge. Je soupirais doucement en secouant la tête. « Non, pas encore. Il faut dire que je passe beaucoup de temps ici et mon père a besoin d’aides au boulot donc je suis un peu débordée mais je vous téléphonerais dans la soirée ! », un sourire, forcé encore tandis que je m’en voulais cruellement de lui mentir. J’en avais la gorgée serrée. Je tentais de ne rien montrer mais ne soyons pas stupide. Cela doit se voir que je suis seulement une autre, je ne sais même pas qui je suis. J’étais juste moi. Face à lui, je me sentais amoindri, nerveuse comme une stupide fille amoureuse. Je me sentais comme toutes ses filles qui aiment un gars qu’elles n’auront jamais sauf que moi : il ne devait pas le voir. Personne ne devrait. Ni lui, ni elle. Mon frère l’avait vu : bingo mais c’était mon jumeau. Rien n’est pareil avec lui. C’était normal.

Là, son regard sur moi me fit légèrement frissonner, ses yeux dans les miens alors que je détournais rapidement celui-ci vers le bar tandis qu’un client s’y était installé mais je ne devais pas partir aussi vite même si une raison m’y forçait. Je penchais doucement la tête en riant nerveusement tandis qu’il laissait ce compliment s’échapper. Je secouais la tête. « Oh non, je suis idiote comme ça ! », bravo ma belle, je me rends encore compte que je me piétine comme si je ne méritais même pas un regard ou un compliment. C’est tout moi dans le fond. Je n’ai pas toujours confiance en moi enfin parfois oui et parfois non. Je me dis d’autres fois que ma mère avait peut-être raison. Il avait de la chance. Jamie était magnifique, elle. Elle était sublime et tout ce dont un homme pouvait rêver. Ses cheveux d’un blond or. Comment pouvais-je même lui retirer ce que je lui avais donné. C’était toujours comme ça avec elle. Je lui donnais tout ce que j’avais sans même avoir le temps de parfois lui donner l’autorisation. Les compliments qu’il me fait pourtant ont toujours cet effet. Ils me paraissent totalement inconscients. Il devait l’être pour me trouver bien dans cette tenue. Alors qu’il se mit à la noter, je riais en levant les yeux. « Oui, n’exagérons pas ! », je lui tirais un peu la langue en prenant ceci pour une pure taquinerait. Peut-être volontairement ou peut-être pas du tout. C’est ça entre nous que j’aime. Rien n’était méchant en taquinerie. On était vivant et on le prenait toujours avec le sourire. Pourquoi faire autrement ? Alors que je reculais en le laissant boire son café, je me mis à rire en l’entendant alors le noter. « Bah… tu vois, là, tu n’exagères pas ! », répondis-je en fronçant les sourcils avant d’aller vers le bar. « Je dois retourner bosser… joues bien ! » subtile moyen de l’éviter ou même d’aller vers une autre destination pour le fuir. Oui, je prenais l’option fuite. Je ne savais pas pourquoi mais cette situation, cette demande en mariage. Je ne pouvais même pas vivre avec l’idée que j’avais perdu toute chance. Peut-être pas toute mais il ne pouvait pas m’aimer. Il n’épouserait pas Jamie. C’est le moment où l’on réalise clairement que l’on n’aura jamais nos chances. Cet instant où tu vois la bague de fiançailles. Je t’assure que tu en oublies l’infime chance que tu te disais ne même pas avoir. Je partais surement trop vite, peut-être que j’aurais dû rester ? Peut-être que je risquais même qu’il ne me suive ? Je sentais bien que ses questions n’étaient surement pas anodines. J’allais servir ce client en me contentant de faire mon boulot. Deux ou trois regards parfois brièvement langoureux partirent discrètement vers sa piste, je ne devais pas me comporter ainsi mais malgré tout : il me hantait même si je savais que cela ne serait jamais possible lui et moi. Je fermais les yeux en soupirant alors qu’un autre client arrivait au bar, l’un de la piste d’à côté. Il me souriant. « Bonjour ! », disait-il avec un grand sourire sans me quitter du regard. « Bonsoir, plus vite ! », renchérissais-je en souriant. « Avec un de mes amis, on se demandait si tu étais célibataires ! », je souriais en l’entendant et hochais la tête. « Exactement mais je travaille, là. La drague c’est après le boulot ! », je disais ça amusée surtout. Au fond, j’étais libre même si mon cœur ne l’était pas mais il fallait bien que je le libère, j’en étais consciente. J’inspirais en le regardant. « Mais je peux toujours prendre des numéros ! », il me fit un grand sourire en allant dans sa poche pour en sortir une carte. Je regardais en direction de la piste de Mattéo en ramassant aussitôt la carte et souriant. « Gardes la bien au chaud et n’hésites pas ! », je n’aimais pas vraiment ce genre de drague en général, juste une carte et je ne savais rien de lui. Je soupirais légèrement en le regardant s’éloigner avant de me remettre à laver les deux ou trois verres ainsi que les tasses que j’avais ramassées avant de passer les commandes. Perdue dans les pensées, je m’échappais un peu dans une contré rêveuse. Un monde surement bien peuplé de choses intéressante et de rêves, non en fait… je semblais plutôt pensive, triste même légèrement. Mes gestes étaient las comme si je les trouvais répétitifs. J’étais ailleurs mais peut-être pas dans un monde magnifique et enchanté. Une fois que cela fut fait, je regardais à nouveau la piste mais je ne le voyais plus, je ne savais même pas où il était. Il suffisait que je sois pensive pour que je le perte de vue. Peut-être que c’était stupide… je l’avais même peut-être imaginée ? Ou peut-être pas. J’allais aussitôt à nouveau hors du bar pour ramasser les verres sur les pistes du fond. Deux ou trois sourires encore sur la piste et un plateau bien rempli que j’avais un peu de mal à porter. Je tentais de trouver l’équilibre parfait en grimaçant. « Et non, toi tu vas là ! », je changeais ce verre de place en me demandant comment me dépatouiller. « Et toi, là ! », encore un et un autre ensuite. Je tentais de porter le plateau qui chavirait sur le côté. Le trajet en direction du bar était un peu long, je le savais et ça me faisait stresser. La peur de le faire tomber, ce pauvre plateau qui ne méritait pas ça. J’étais surement souple et j’avais de l’équilibre mais je pouvais aussi bien me montrer maladroite en un claquement de doigts. Et quand je me redressais, je tombais presque nez à nez avec lui tandis que le plateau chavirait à nouveau.
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MessageSujet: Re: MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite    MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  I_icon_minitimeDim 26 Aoû - 16:01

Plus je suis loin de toi, mieux je me porte


Mattéo & Mélody

J’ESSAYAIS DE PARLER AVEC ELLE, MAIS JE VOYAIS BIEN QU’AU FOND ELLE N’ ÉTAIT PAS SI ATTENTIF QUE ÇA A NOTRE DISCUSSION ET POURTANT JE FAISAIS COMME CI DE RIEN N’ ÉTAIT. PEUT-ÊTRE AVAIT ELLE TROP DE BOULOT ET PAS RÉELLEMENT LE TEMPS DE PAPOTER AVEC MOI, OU PEUT-ÊTRE QU’ELLE ÉTAIT SIMPLEMENT FATIGUÉE ET QU’ELLE PRÉFÉRAIT CE REPOSER ENTRE DEUX CAFÉS QUE PARLER AVEC UN VIEUX AMIS. A QUOI BON RÉFLÉCHIR JE ME FAISAIS PLUS MAL A LA TETE QU’AUTRES CHOSES A ESSAYER DE COMPRENDRE LE POURQUOI DU COMMENT ! LA MEILLEURE SOLUTION ? QUE JE LA PRENNE ENTRE QUATRE YEUX POUR SAVOIR CE QU’IL CE PASSE CAR JE SAVAIS QU’IL Y AVAIT QUELQUES CHOSES ! ET POURTANT JE NE FAISAIS RIEN COMME UN ENFANT TROP LÂCHE POUR ALLER DANS UN PARC D’ATTRACTION A SENSATION. POSANT MES QUESTIONS ELLE ME RÉPONDIT QU’ELLE AVAIT JUSTE ENVIE DE S’OCCUPER, JE NE POUVAIS M’ EMPÊCHER DE FRONÇAIS LES SOURCILS. MOUAIS PEU CRÉDIBLE JE TROUVE, MAIS C’ ÉTAIT PEUT-ÊTRE VRAI. PEUT-ÊTRE QU’EN RÉALITÉ C’EST MOI QUI CHERCHER LA PETITE BÊTE JUSTE POUR ESSAYER DE TROUVER UN PEU D’ESPOIR SUR D'ÉVENTUELLE SENTIMENTS QU’ELLE AURAIT POUR MOI. IL FALLAIT QUE J’ ARRÊTE SIMPLEMENT ET QUE JE M’OCCUPE DE MON FUTUR MARIAGE.

JE ME SUIS DÉJÀ IMAGINE A PLUSIEURS REPRISES CE QUI AURAIT PUS ADVENIR DE NOUS SI CE FAMEUX SOIR JE N’ ÉTAIS PAS SORTIS AVEC JAMIE MAIS QUE JE SERAIS SIMPLEMENT RENTRE CHEZ MOI POUR ENSUITE DÉCLARE MA FLEMME A MELO. MAIS ON NE LE SERA JAMAIS DE TOUTE MANIERE ALORS J’ESSAIE DE METTRE ÇA DANS UN COIN DE MA TETE A CHAQUE FOIS ET JE PASSE A AUTRE CHOSE QUE FAIRE D’AUTRE ? ALORS QUE SA REPONSE SUR LE FAIT DE MANGER ENSEMBLES, N’ETAIT EN FAITE PAS MEILLEURE QUE LA PRECEDENTE ! SI J’AVAIS LE CULOT JE LA REGARDAIS DANS LES YEUX POUR LUI DIRE NON MAIS TU NOUS EVITE OU QUOI ? COMMENT ÇA CE FAIT QUE DANS LA VIE NOUS POUVONS ETRE DES PERSONNES TRES FRANCHE, ET ETRE SI MALHONNETE FACE A L’AMOUR ? JE LUI FAISAIS DES PETITS COMPLIMENTS SUR LA TENU, PASSANT ÇA POUR DEUX POTES QUI SE TAQUINE ALORS QU’EN FAITE JE LE PENSAIS REELLEMENT. DE MEME POUR LE CAFE, IL N’ETAIT PAS SI HORRIBLE QUE ÇA MAIS JE VOULAIS JUSTE LA TAQUINER UN PEU ! ELLE RIAIT, C’ETAIT BON SIGNE ? JE NE SAIS PAS JE NE COMPRENAIS PLUS REELLEMENT SON COMPORTEMENT DEPUIS QUELQUES TEMPS. PARFOIS JE LA RETROUVAIS ELLE MA MELODY ET PARFOIS J’AVAIS L’IMPRESSION D’AVOIR UNE INCONNUE, DU MOINS ELLE CE CACHAIT ENVERS MOI DE SA PERSONNALITE, COMME DEUX CONNAISSANCES, BONJOUR, AU REVOIR ! D’AILLEURS JE N’EU MEME PAS LE TEMPS DE DIRE OUF QUE C’EST EXACTEMENT CE QUI CE PASSA AU REVOIR, ELLE PARTIE. BON EN MEME TEMPS ELLE BOSSAIT C’ETAIT NORMAL MAIS JE SAIS PAS JE PRENAIS CETTE FUITE DIFFEREMMENT QU’UN SIMPLE JE BOSSE. JE CROIS QUE AU FOND JE ME FAISAIS TROP D’IDEE IL FALLAIT VRAIMENT QUE J’ARRETE AVEC TOUT ÇA MAIS… ARF L’AMOUR !! NI UNE NI DEUX, JE ME REMIS A JOUER AVEC MES POTES, IL ME TAQUINER DU GENRE BAH ALORS JOUE UN PEU PLUS AU LIEU DE DRAGUER, MAIS ILS RIGOLAIENT BIEN SUR ILS SAVAIENT QUE J’ETAIS PAS DU GENRE A DRAGUER ET SURTOUT QUE J’ETAIS QUELQU’UN DE FIDELE MEME SI PARFOIS ILS AIMERAIENT QUE JE M’ECLATE UN PEU PLUS AVEC LES FILLES… MAIS NON JE NE SUIS PAS CE GENRE DE MEC ET JE NE L’AI JAMAIS ETE TOUJOURS SERIEUX EN AMOUR ! QUOI QUE AIMER DEUX FEMMES ET PLUS UNE AMIE QUE ÇA FIANCEE ? OK J’AVOUE, PAS SI SERIEUX QUE ÇA ! MAIS ÇA PERSONNE NE LE SAIT. ENTRE DEUX VERRES, DES DISCUSSIONS AVEC MES POTES ET DES PARTIES OU C’ETAIT A MON TOUR DE JOUER, JE NE CACHE PAS QUE JE FAISAIS EN SORTE DE REGARDER VERS MELO. JE NE DEVRAIS PAS POURTANT MAIS JUSTE UN REGARD C’ETAIT RIEN ?

DU MOINS C’ETAIT JUSTE UN REGARD JUSQU'A CE QUE JE VOIS UN HOMME S’APPROCHER D’ELLE JE FRONÇAIS LES SOURCILS. FRANCHEMENT SI C’ETAIT MA COPINE IMPULSIF ET JALOUX QUE JE SUIS-JE CROIS QUE JE SERAIS DEJA PARTI VERS EUX ET MALHEUREUSEMENT LE MEC EN AURAIT DEJA PRIS POUR SON GRADE. OUI JALOUX MALADIVE CE N’EST PAS TOUJOURS FACILE POUR MA COMPAGNE. MAIS LA JE NE POUVAIS RIEN FAIRE INTERDICTION CE N’ETAIT PAS MA COPINE ET VOUS IMAGINEZ SI JE FAISAIS UN SCANDALE LA ? AIE NON ! JE POUVAIS SIMPLEMENT REGARDER SOUS MON REGARD IMPUISSANT, CONSTATANT QU’IL LUI DONNAIT UNE CARTE. IL LA DRAGUAIT ÇA C’ETAIT SUR ET J’AVAIS ENVIE DE LE DEFONCER SUR PLACE. ELLE VENAIT PAR AILLEURS D’ACCEPTER, J’ETAIS UN PEU EN ROGNE, JE ME RAPPROCHAIS DU BAR DEMANDANT UN SODA, PUIS PASSANT DEVANT LE MEC JE FIS SEMBLANT DE FAIRE UNE CHUTE ME RATTRAPANT A LUI ET LUI METTANT TOUT LE SODA SUR LUI. IRONIQUEMENT JE LUI DIS : « EXCUSE DESOLE JE REGARDAIS LA NANA LA BAS TROP CANON SERIEUX ET DU COUP JE REGARDAIS PAS OU J’ALLAIS ENFIN TU ES UN MEC TU SAIS CE QUE SAIT QUAND LE PANTALON FAIT DES SIENNES ON OUBLIE TOUT LE RESTE » BIEN SUR C’ETAIT POUR RENTRER DANS LE JEU DU PAUVRE MEC CAR C’ETAIT PAS DU TOUT MON GENRE NON SEULEMENT CE COMPORTEMENT MAIS EN PLUS DE PARLER AINSI. IL ME REPONDIT : « OUI JE SAIS CE QUE C’EST PAS DE MAL PUIS TU M’AIDE LA, LA PETITE SEXY DU BAR, ELLE VA M’AIDER… ». JE N’EU PAS LE TEMPS DE DIRE OUF QUE JE LE VOYAIS SE RAPPROCHER DE MELO, POUR LUI DEMANDER DE L’AIDE, IL Y A SOUVENT DES OUBLIS OU DES RECHANGES DANS LES BOWLINGS. JE RESTAIS FIGE LE MEC 2 MOI 0. J’AVAIS PERDU SUR TOUTE LA LIGNE ET JE VENAIS DE ME FAIRE AVOIR COMME UN DEBUTANT.

JE REPARTIS VERS MES POTES PLUTOT EN ROGNE, NON MAIS JE ME SENTAIS CON ALORS LA J’AVAIS TOUT GAGNER, AU LIEU DE L’HUMILIER JE LE JETER DIRECTEMENT DANS SES BRAS. J’ETAIS TELLEMENT EN COLERE, QUE JE ME DIRIGEAIS VERS LES TOILETTES DES HOMMES POUR ME RAFRAICHIR UN PEU LE VISAGE ET ME DETENDRE. J’AVAIS SOIF, UN BON PETIT VERRE DE WHISKY C’EST CE QUE JE MERITAIS AVEC LA BELLE GOURDE QUE JE VENAIS DE FAIRE. ALORS QUE JE COMMANDAIS LE VERRE JE ME RETOURNAIS ET ME RETROUVA NEZ A NEZ AVEC ELLE… MELO… JE RA VALAIS MA SALIVE ET J’ETAIS COMPLETEMENT GENE ALORS J’ESSAYAIS D’EMETTRE UN PETIT RIRE POUR DETENDRE L’ATMOSPHERE. PUIS IRONIQUEMENT JE LUI DIS :

« TU AS VU JE T’AI DONNE DU BOULOT AVEC L’AUTRE TYPE JE SUIS GENTIL NON »

JE FAISAIS SEMBLANT D’EN RIRE ALORS QU’AU FOND DE MOI JE BOUILLONNAIS ET J’AVAIS QU’UNE ENVIE LE FOUTRE DEHORS. ET .. BREF JE SUIS IMPULSIF ET BAGARREUR QUAND ON TOUCHE CELLE QUE J’AIME. MEME SI LA TECHNIQUEMENT IL NE L’AVAIT MEME PAS TOUCHE.


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MessageSujet: Re: MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite    MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  I_icon_minitimeDim 26 Aoû - 18:54
La drague, une chose que je n’aime pas réellement en tant général. Cet homme venant m’accoster ne m’était pas vraiment familier et encore moins le premier. Je ne me souvenais même plus avoir pris sa commande. C’est pour dire à quel point j’ai toute ma tête. Je faisais juste comme si j’étais intéressée. Peut-être que je voulais m’en convaincre. Passer à autre chose. Cela serait une bien bonne idée. Il fallait que je le fasse cependant c’était bien compliqué. A New-York, j’y arrivais encore bien même si ce n’était pas toujours convaincant. Je soupirais doucement en le regardant après qu’il ait donné sa carte. Sérieuse, je retournais donc m’occuper de mes verres. Les tasses aussi en fait, ils laissaient toujours tout sur les tables. Le patron allait rarement ramasser les verres. Quel feignent conclusion bah voilà. Je voulais toujours y aller régulièrement surtout quand les clients partaient. Je regardais brièvement la jeune fille aux locations qui semblait me regarder étrange en fait, elle me montrait qu’on venait de renverser un verre maladroitement sur le client enfin je ne comprenais rien. Peut-être qu’elle tentait de m’avertir car parfois cela se termine en bagarre surtout les hommes. Je fronçais les sourcils et je ne suivais rien. Pensive avec ma vaisselle, je fus alors brièvement accostée par le gars de tout à l’heure. « Et re bonsoir! », disait-il en me regardant. « Euh… Bonsoir, un autre numéro à me filer ? », demandais-je ironiquement sur le coup mais j’étais un peu ailleurs et ma voix le montrait. Je riais nerveusement en le regardant. « Non en fait, j’aimerais vous demander si vous n’avez pas un t-shirt ou un truc du genre pour remplacer ma chemise… un type me l’a un peu renversé son verre. », oh ben… je regardais qui aurait bien pu faire ça mais je ne voyais personne. Je n’avais aucune idée que cela pourrait être Mattéo. Pour tout vous dire, j’ignorais même qu’il aurait fait ça. Pourquoi d’abord ? Enfin c’était complexe. Par pour moi du moins même si c’était loin d’être visible qu’il aurait pu le faire par jalousie d’après ce que disait le gars mais je ne soupçonnais point mon ami. « Allez demander à la réception des chaussures ! », c’était là-bas qu’était les objets abandonnés et autres gadgets qu’il pourrait trouver et au fond, il voyait bien que je ne lui prêtais pas attention. Je ne riais même pas à cette situation. Je gardais mon sérieux et mon professionnalisme. Le laissant alors aller s’occuper de ma collègue et il semblait même lui faire le même numéro en lui tendant une carte tandis que je me contentais d’aller m’occuper de mes tables en prenant un plateau pour récupérer les verres vides. Je n’imaginais pas une seule seconde tomber nez à nez avec Mattéo et je fus surprise sur le coup, mon plateau pendant encore, je le posais sur la table à nouveau. Sur ce coup, je sentais qu’il était gêné et sans savoir pourquoi. Je riais nerveusement en l’entendant. Je le regardais même étrangement comme si je me demandais de quoi il parlait. « Hum… Comment ça c’est toi le maladroit ? », demandais-je en riant avant de secouer la tête. « Tu ne regardes plus devant toi quand tu marches ? », j’étais bien loin de me douter de ce qui se passait. En fait, peut-être même que c’était inconscient. J’allais de retour derrière le bar en prenant un deuxième plateau pour faire moitié moitié et prenant alors les deux plateaux sans vraiment savoir si j’allais réussir à tout garder sur ceux-ci mais il fallait bien que je tente et j’allais passer pour la pro des serveuses. Je retournais derrière le bar en le regardant alors. « Tu devrais faire attention, samedi dernier… cela s’est terminé en bagarre pour une chemise ! », je souriais doucement parler de tout et de rien et surtout éviter les sujets importants comme mon comportement ou ma gêne. « Tu veux son numéro pour lui rendre sa chemise peut-être ? », je lui montrais la carte du doigt en prenant les verres un à un pour les mettre baigner avant d’aller servir une jeune femme qui demandait son soda. Je le regardais alors en riant. « Je te sers quelques choses ? », il fallait bien que je fasse mon boulot et il était surement là pour boire un verre enfin pourquoi aller au bar ? Pour moi ? Je me disais que c’était possible mais j’étais tellement froide et distante que j’en arrivais à me demander si les gens voudraient bien passer un moment avec moi ou même s’il le voudrait. Comment pouvait-il être maso ? Je me doutais que ça allait se dérouler comme précédemment et j’allais être taciturne ou réservée pour ne pas montrer ce qui se passait. Je voulais faire comme si tout allait bien pourtant mais je n’étais pas idiote, je foirais. Et là, je me disais qu’il fallait tout de même que je tente une approche. Allez, je vais trouver, un truc… n’importe quoi. Un truc qui montrerait que tout va bien. « Et comment ça se passe pour votre mariage… », c’était con et même si ça me faisait simplement mal de penser à ça. Je me disais qu’il fallait bien que je demande un truc et pour tout vous dire, ça me révulsait de poser la question. Cela me faisait mal, c’était con.
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MessageSujet: Re: MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite    MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  I_icon_minitimeLun 27 Aoû - 17:04

Plus je suis loin de toi, mieux je me porte


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OUI C’ETAIT BIEN MOI LE MALADROIT COMME ELLE POUVAIT BIEN LE DIRE, DU MOINS J’EN AVAIS BIEN FAIT EXPRES MAIS ÇA PAR CONTRE JE N’ALLAIS PAS LUI DIRE. JE NE SUPPORTAIS PAS QU’UN MEC LA DRAGUE ET DEVANT MES YEUX EN PLUS, JE NE SUPPORTAIS PAS LA VOIR AVEC UN AUTRE MEC QUE MOI SURTOUT QUAND JE SAIS QU’IL NE S’AGIT PAS D’UN AMIS MAIS D’UN MEC AVEC QUI ELLE POURRAIT AVOIR UNE AVENTURE. ET EN PARALLELE J’ETAIS TOUT DE MEME AMOUREUX DE JAMIE ET JE N’AIMAIS PAS NON PLUS QU’UN HOMME L’APPROCHE. AIMER DEUX FEMMES A LA FOIS VOUS Y CROYEZ A ÇA ? BAH MALHEUREUSEMENT C’ETAIT BIEN LE CAS SAUF QUE LE PLUS GROS PROBLEME DANS L’HISTOIRE C’EST QUE DANS LES DEUX JE SAVAIS QU’IL Y EN AVAIT UNE QUE J’AIMAIS BEAUCOUP PLUS QUE L’AUTRE ET IL NE S’AGISSAIT PAS DE MA FIANCE. J’AVAIS SOUVENT CETTE BOULE DANS LE VENTRE CETTE IMPRESSION DE LES TROMPER L’UNE AVEC L’AUTRE DANS MON ESPRIT. JE NE SAVAIS VRAIMENT PAS COMMENT M’EN DEFAIRE, J’AVAIS PENSE AU MARIAGE JUSTEMENT, C’EST AINSI QUE JE DEMANDAIS A JAMIE SA MAIN. UN HOMME MARIE NE DOIT AIMER QUE ÇA FEMME ! MAIS EN REALITE CELA N’AVAIT ARRANGER EN RIEN MES SENTIMENTS.

« NON JE REGARDAIS PAS ENFIN JE REGARDAIS LA PISTE DE BOWLING VOIR OU ILS EN ETAIENT DANS LES SCORE PUIS TU ME CONNAIS JE SUIS PAS DU GENRE A ME BATTRE, J’AURAIS CALME L’AFFAIRE ENFIN J’AURAIS ESSAYE DU MOINS SANS RAISON JE ME BATS PAS. »

OUI JE REGARDAIS LA PISTE DE DANSE EN MEME TEMPS C’ETAIT LA MEILLEURE AMIE DE JAMIE, JE N’ALLAIS PAS DIRE PREMIEREMENT J’EN AI FAIT EXPRES PARCE QU’IL T’A DRAGUE ET DEUXIEMEMENT J’AI PRETEXTE LE FAIT DE REGARDER UNE FILLE QUI ETAIT « BONNE ». ELLE ME DEMANDA SI JE VOULAIS SON NUMERO POUR LA CHEMISE JE RENTRAIS DANS SON JEU FAISANT SEMBLANT QUE JE N’AVAIS RIEN VU TOUT A L’HEURE ET JE LUI REPONDIS :

« AH PARCE QUE TU AS SON NUMERO TOI »

OUI JE LE SAIS BIEN ÇA, A TON AVIS POURQUOI JE LUI SUIS RENTRE DEDANS ?!

« UN VERRE DE WISKI PUR STP, ET IL EST PAS ASSEZ BIEN POUR TOI, REGARDE MAL RASE, MAL HABILLE NON DECIDEMENT JE TE VOIS PAS AVEC CE GENRE DE MEC »

JE ME SENTAIS OBLIGE DE FAIRE UNE PETITE REMARQUE SUR CE GUGUSSE QUI DRAGUER SANS GENE. IL FAUT DIRE QUE CE N’ETAIT PAS DU TOUT MON GENRE EN PLUS LE MEC RELOU QUI DRAGUE TOUT CE QUI BOUGE C’EST TELLEMENT PATHETIQUE. EN MEME TEMPS DE NOS JOURS PRESQUE TOUS LES MECS SONT COMME ÇA POUR AVOIR UNE PARTIE DE JAMBE EN L’AIR. J’AVOUE QUE J’AVAIS TOUT DE MEME REÇU UNE TRES BELLE EDUCATION DE LA PART DE MA MERE. PAR CONTRE ELLE AVAIT OUBLIE DE M’APPRENDRE A NE PAS AIMER DEUX FEMMES A LA FOIS. QUOI QUE J’AURAIS DU M’EN DOUTER. AU FOND J’AVAIS ACCEPTER L’INVITATION DE JAMIE POUR ESSAYER DE RENTRE JALOUSE MELODY, MAIS JE N’Y AVAIS VU QUE DU FEU, AUCUNE JALOUSIE, PUIS JE VOULAIS OUBLIER MELODY DANS LES BRAS DE JAMIE. POUR AU FINAL TOMBER AMOUREUX DE JAMIE MAIS CE N’EST PAS POUR AUTANT QUE J’AVAIS OUBLIE MELODY. QUEL GALERE ! MELODY FIT ENFIN ILLUSION AU MARIAGE, DEPUIS QUE NOUS ETIONS FIANCES JE NE PEUX PAS DIRE QUE JE L’AVAIS ENTENDU SOUVENT PARLER DE MON MARIAGE AVEC JAMIE, COMME CI DE RIEN N’ETAIT A SES YEUX ! POURTANT JE PENSAIS QU’ELLE SERAIT HEUREUSE POUR MOI ET JAMIE APRES TOUT C’EST SA MEILLEURE AMIE ET MOI JE NE SUIS QU’UN AMI POUR ELLE MAIS JE N’AVAIS PAS VU EN ELLE LA JOIE QU’UNE MEILLEURE AMIE DEVRAIT AVOIR. JE ME DISAIS PEUT-ETRE LA JALOUSIE QUE SA MEILLEURE AMIE SE MARIE AVANT ELLE, OU LA PEUR DE PERDRE SA MEILLEURE AMIE DU MOINS LA VOIR BEAUCOUP MOINS SOUVENT. J’ESSAYAIS DE TROUVER PLUSIEURS RAISONS MAIS EN REALITE IL POUVAIT Y EN AVOIR TELLEMENT QUE C’ETAIT TROP CASSE TETE.

« POUR L’INSTANT NOUS N’AVONS PAS ENCORE PARLE SERIEUSEMENT, DE LA DATE, DES PREPARATIFS IL FAUT QU’ON S’Y METTE MAIS AVEC LES COURS C’EST PAS TOUJOURS EVIDENT SURTOUT QUAND ON N’A PAS LES MEMES HORAIRES… »

JE CROIS QU’EN REALITE CELA M’ARRANGER BIEN QU’ELLE NE PARLE PAS DU MARIAGE, CAR AU FOND ÇA ME BRISER LE CŒUR DE PARLER DE MARIAGE DEVANT ELLE ALORS QUE J’ETAIS FOU AMOUREUX ! NOUS SOMMES JAMAIS CONTENT NOUS ETRE HUMAIN, UN COUP NOUS SOMMES DEÇUS PARCE QU’UNE PERSONNE NE PARLE PAS D’UNE CHOSE PUIS APRES NOUS N’AIMONS PAS ABORDER CE CERTAIN SUJET ! ALORS QU’ELLE M’AVAIT SERVIS MON VERRE DE WISKI, JE LUI DIS :

« EN FAIT JE CROISE TON FRERE QUAND IL S’ENTRAINE J’AI ESSAYE DE LE CHOPPER POUR VENIR BOIRE UNE BIERE AVEC MOI MAIS IL DOIT ETRE SUPER OCCUPE JE LE VOIS JAMAIS EN DEHORS, SI TU LE CROISE DIT LUI QUE J’ESSAIE DE LE VOIR »

JE SAVAIS PERTINEMMENT QUE SON FRERE N’ETAIT PAS AU CAMP, JE L’AVAIS DE TEMPS EN TEMPS AU TELEPHONE PAR CONTRE JE NE COMPRENAIS PAS POURQUOI C’EST COMME CI IL ETAIT BIEN PRESENT. J’AVAIS UNE IDEE SUR LA QUESTION, JE ME DEMANDAIS SI CE N’ETAIT PAS MELODY, MAIS JE NE VOULAIS PAS EN PARLER A MATTHEW PAR PEUR QU’IL LUI CAUSE DES PROBLEMES. J’ABORDAIS LE SUJET AVEC ELLE ESSAYANT DE VOIR COMMENT ELLE ALLAIT REAGIR A MA DEMANDE. JE N’ETAIS PAS SUR A 100% DE MOI DU MOINS DE CE QUE JE PENSAIS MAIS QUI D’AUTRE QUE SA SŒUR JUMELLE POUVAIT BIEN FAIRE ÇA ?



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MessageSujet: Re: MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite    MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  I_icon_minitimeLun 27 Aoû - 23:28
Hum hum, j’hochais la tête à son excuse quant à se battre bien sûr, je ne pensais que lui aurait pu se battre mais ce gars en question. Il avait typiquement la tête du con matcho qui adorerait lancé une bagarre juste pour prouver qu’il est le plus fort du troupeau de crétin. Bien sûr, bon dieu qu’est-ce que je pouvais descendre parfois quelques hommes. Il fallait vraiment y aller pour que je supporte certain. Mattéo était de ceux que je supportais. Son caractère et même sa gentillesse avec moi. Bien sûr, j’étais loin de me souvenir qu’il avait même été le mystérieux jeune homme bien gentil que j’avais rencontré. Il ne fait pas être trop triste et désemparée car même sans alcool cela tue votre mémoire. Je ne disais rien pourtant car il fallait avouer que je ne savais que dire. J’aurais pu avoir cette envie que ce soit pour moi ou même peut-être enfin je ne savais pas. C’est complexe dans ma tête par moment, je vous jure. C’était alors ce numéro que je lui montrais que me fit arquer un sourcil quand je l’entendis. Pourquoi ? Je ne savais pas vraiment, peut-être la façon de le dire ? Je riais nerveusement en le regardant. « Pourquoi ? », je posais un regard vers lui qui voulait vraiment dire : Ça te surprend que j’ai des numéros d’un homme ? Je ne savais pas pourquoi je ne lui posais pas directement la question mais j’avais cette intrigue dans la tête qui ne voulait pas s’en aller. Alors que je savais ce qu’il voulait, je commençais à lui préparer aussitôt la commande de la jeune femme terminée et riant en l’entendant alors parler du fait qu’il n’était pas assez bien pour moi. Cela me rendait en quelques sortes mal à l’aise. Je baissais le regard en fronçant les sourcils. « Ouais… », je soupirais doucement aussitôt en le regardant. « Avec quel genre de mec, alors ? », demandais-je d’un ton presque curieux, je me demandais bien ce qu’il avait derrière la tête. Il se mêlait rarement de mes histoires de cœurs et moi, encore moins des siennes et moins je parlais de lui et Jamie : Mieux je me portais. Quand ça arrivait, c’était surtout pour faire comme si tout allait bien. Au fond, j’étais tellement bien à New-York l’an dernier. Sans eux, sans soucis. Bien sûr, avec le téléphone mais ça faisait moins mal que de les voir ensemble. C’était seulement pendant les vacances que cela devenait un vrai supplice. Il fallait cependant bien que je fasse des efforts parfois pour dire de faire comme si. C’était vraiment difficile pour moi. Vous ne pouvez pas savoir l’énergie et la conviction que je pouvais mettre à faire croire que tout allait bien de mon côté. Je n’en parlais jamais, j’évitais la conversation avec Jamie et c’était dingue d’être la demoiselle d’honneur, non ? Enfin loufoque. Je ne m’y sentais pas à ma place avec tout ce que j’avais dans la tête. L’envie parfois d’embrasser son fiancé et de me laisser aller. Parfois même, je pensais que Matthew avait raison que je devais me battre pour lui mais non, il était fiancé et aimait sa fiancé. Il ne devait même pas m’aimer. Je le saurais sinon, non ? Parler de son mariage me bouffait intérieurement et si là, je le regardais dans les yeux, sûre que je pourrais même vouloir pleurer mais non. Je secouais doucement la tête en l’entendant avant de le regarder évasivement avec un sourire. « Je suis persuadée qu’elle va vite le trouver et peut-être même sans toi. Tu la connais, elle est loin d’être la plus patiente dans certaines choses ! », je riais de bon cœur. Je me moquais gentiment de l’esprit organisateur de ma meilleure amie. Elle en parlait même si je ne l’écoutais pas quand nous étions au téléphone donc je savais de quoi je parlais. Tenter d’en rire était aussi une bonne façon pour moi de m’éloigner un peu plus du sujet et surtout : l’éviter. Je m’apprêtais à dire un truc, lui demander un truc mais c’est là qu’il me parlait de Matthew que je riais doucement. « Ah oui ? », bien sûr, je le savais comme j’étais Matthew mais je devais faire comme si de rien n’étais. « Il passe beaucoup de temps à réviser… », disais-je alors en baissant le regard, oui ou l’éviter aussi peut-être mais lui passant son verre de whisky. Mes deux identités ne faisaient que le fuir. « Je ne le vois pas beaucoup non plus en ce moment… on n’a pas des horaires qui se rejoignent ! Enfin tu vois, c’est l’enfer. », C’était vrai en plus et heureusement. Pratique aussi ! Peut-être même que je devais avouer que conclusion : c’était pour ça que j’étais encore moins disponibles. Cela tombait à pic pour tout vous dire. Je le regardais en fronçant les sourcils. Je commençais à trop parler. Trop. Il fallait que je change de sujet et j’avais la bonne question qui fonctionnerait. « Comment vas ta mère ? Je suis passée la voir plusieurs fois avant de rentrer. Elle semblait aller mieux enfin je ne sais pas trop ! », sa mère était une femme magnifique. Cette année alors qu’il était au camp, j’avais passée beaucoup de temps avec elle. Des choses que peut-être Jamie ne ferait jamais pour son propre plaisir. Moi, ce n’était pas pareil, l’on passait des après-midi à jouer au bridge. Elle m’avait même appris à jouer à la Scopas. Ce jeu italien. Je m’inquiétais souvent pour elle, elle était loin de son fils et je sentais toujours que ça la pesait. Parfois même, elle semblait ailleurs et ça m’attristait. Je ne savais pas s’il savait tout le temps que j’avais passée avec lui, peut-être trop pour une simple amie. J’avais même droit à mon mignon petit surnom : Canaille ! Je ne savais pas pourquoi mais peut-être cette folie en plus. « Si j’ai un weekend, je tenterais d’aller à New-York pour la voir. J’ai encore des paquets là-bas et ça me ferait plaisir. », C’était vrai car j’avais gardé mon studio au cas où l’envie d’y retourner était pressante. Je m’attendais à passer un bien mauvais quart d’heures à New-York. J’y avais même laissée mon ourson en peluche que j’affectionnais tellement. Un simple oubli. Bon maintenant, il fallait trouver le temps et la motivation de grimper en voiture pour un si long allé et retour d’un weekend. Je l’avais déjà fait mais ce n’était pas toujours un des meilleurs voyages quand on le fait seule. Je retirais alors mon tablier en voyant la piste libre mais aussi l’heure. « C’est l’heure de ma pause ! », disais-je en souriant avant d’aller en direction des pistes. J’adorais prendre quelques minutes pour juste m’amuser. En fait, j’aimais bien le bowling et j’y venais assez souvent depuis mon adolescence. Parfois même que je concourrais en compétition juste pour le fun avec une équipe. Je prenais une boule en la pesant un peu de ma main.
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MessageSujet: Re: MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite    MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  I_icon_minitimeMar 28 Aoû - 11:19

Plus je suis loin de toi, mieux je me porte


Mattéo & Mélody

JE ME RAPPELLE ENCORE DE TOUT SES BONS MOMENTS QUE NOUS PASSIONS ENSEMBLES IL FUT UN TEMPS. JE TROUVAIS ÇA TELLEMENT MOINS COMPLIQUE QUE MAINTENANT. IL N’Y AVAIT AUCUNE GENE AUCUNE TABOU, JUSTE DEUX AMIS QUI PASSENT DU TEMPS ENSEMBLES. JE SENTAIS QUE MAINTENANT TOUT ETAIT SI DIFFERENT MAIS JE NE SAVAIS PAS REELLEMENT POURQUOI. PEUT-ETRE PENSE T’ELLE QUE JE N’AVAIS DE LA PLACE POUR QU’UNE SEULE FEMME DANS MA VIE ET QUE JE NE POUVAIS ETRE AMIS AVEC LES AUTRES ? C’ETAIT TELLEMENT BIZARRE, UNE CHOSE EST SUR JE N’AIMAIS PAS DU TOUT CETTE SITUATION, J’AVAIS CETTE IMPRESSION DE LA PERDRE ET JE NE BOUGEAIS PAS LE PETIT DOIGT. EN FAITE JE NE SAVAIS PAS DU TOUT QUOI FAIRE. ALORS QUE JE VENAIS DE CRITIQUER OUVERTEMENT CE TYPE QUI L’AVAIT DRAGUER JE ME RENDIS COMPTE QUE C’ETAIT PAS CORRECT DE MA PART. SEULEMENT JE N’AVAIS PAS PUS M’EN EMPECHER C’ETAIT PLUS FORT QUE MOI, ELLE MERITAIT MIEUX. JE VOIS BIEN LE GENRE DE MEC QU’IL S’AGIT A COURIR APRES TOUT CE QUI BOUGE.

« PARCE QUE C’EST LE GENRE DE MEC QUI DRAGUE TROIS NANA A LA FOIS, TOI IL TE FAUT LE MEC QUI QUAND IL TE REGARDE DANS LES YEUX TU SAIS QU’AUCUNE AUTRE FEMME NE COMPTE POUR LUI. »

JE DISAIS ÇA EN LA REGARDANT DANS LES YEUX, PUIS JE SECOUAIS UN PEU LA TETE POUR ARRETER DE LA REGARDER AINSI, ÇA FAISAIT PENSER JUSTEMENT A CE GENRE DE MEC QUI LA REGARDE DANS LES YEUX ET LUI FAIRE COMPRENDRE QU’IL N’Y A QUE ELLE MAIS NON J’AVAIS UNE FEMME DANS MA VIE. JE DEVAIS ABSOLUMENT OUBLIER MELODY, MAIS EN FAIT JE ME DIS ÇA DEPUIS PLUS D’UN AN MAINTENANT DEPUIS QUE JE LA CONNAIS ET QUE JE ME DIS QUE JE NE LUI PLAIS PAS. MELODY CONTRE TOUTE ATTENTE COMMENÇA A ME PARLER DU FAMEUX MARIAGE, MON MARIAGE ! JE LE VOULAIS DEPUIS LONGTEMPS DU MOINS EN PARLER AVEC ELLE ET MAINTENANT QUE C’ETAIT SUR LE TAPIS JE VOULAIS CHANGER DE SUJET ! ELLE ME FIT RIRE QUAND ELLE M’ANNONÇA QUE JAMIE ELLE DEVAIT TOUT PLANIFIER DE SON COTE TROUVANT LE TEMPS. EN EFFET C’ETAIT TOUT A FAIT ELLE, ET C’EST UNE DE SES FACETTES QUE J’APPRECIAIS BEAUCOUP EN ELLE LE FAIT QU’ELLE NE LAISSE RIEN A LA LEGERE ET QU’ELLE S’ENGAGE SUR CE QU’ELLE FAIT. JE DEVRAIS MONTRER UN PEU PLUS D’INTERET A CE MARIAGE EN COMMENÇANT PAR TROUVER DU TEMPS POUR M’EN OCCUPER, APRES TOUT LA DEMANDE VENAIT DE MOI. MAIS C’ETAIT DUR PARCE QUE CHAQUE FOIS QUE JE ME DISAIS JE M’EN OCCUPE, IL FALLAIT QUE JE TOMBE SUR MELODY. COMME CE SOIR PAR EXEMPLE, JE VOULAIS M’EN OCCUPER DES LE LENDEMAIN MATIN EN COMMANDANT DES PETITES SURPRISES POUR LE JOUR J POUR JAMIE, ET VOILA QUE JE TOMBE SUR MELODY ALORS QUE JE M’Y ATTENDAIS PAS DU TOUT. ALORS QUE JE VOULAIS A MON TOUR CHANGER UN PEU DE SUJET ETANT ASSEZ MAL A L’AISE, JE LUI PARLAIS DE SON FRERE, OUI QUELQUE CHOSE ME DISAIT QU’ELLE EN SAVAIT PLUS QU’ELLE NE LE DIT. MAIS JE L’ECOUTAIS SIMPLEMENT EN ETANT PERSUADE QU’ELLE ME MENTAIT MAIS JE NE COMPRENAIS PAS POURQUOI ELLE FAISAIT ÇA ET JE N’ETAIS PAS SUR A 100% QUOI QUE JE SAVAIS QU’IL N’ETAIT PAS LA ALORS EN FAIT SI J’ETAIS SUR DE MOI. LE FAIT QU’ELLE CHANGE DE SUJET NE POUVAIT QUE ME CONFORTER SUR MON AVIS. JE L’ECOUTAIS, APRES TOUT ELLE DEVAIT AVOIR UNE RAISON DE FAIRE ÇA ET JE NE VOULAIS PAS LA METTRE MAL A L’AISE EN LUI DISANT QUE JE SAVAIS TOUT OU PRESQUE. SURTOUT QUE LE SUJET QU’ELLE EVOQUA ETE L’UNE DES CHOSES QUE J’AIMAIS LE PLUS AU MONDE APRES MELO ET JAMIE. MA MERE.

« OUI J’AI L’IMPRESSION QU’ELLE VA MIEUX, MAIS AVEC ELLE C’EST TELLEMENT DUR, PARFOIS ELLE VA SUPER BIEN TU TE DIS C’EST BON ELLE VA ENFIN PASSER A AUTRE CHOSE IL LE FAUT APRES TOUTES SES ANNEES, PUIS UNE SEMAINE APRES TU VA LA VOIR ET NON ELLE VA ENCORE AU PLUS MAL. JE SAIS PLUS QUOI FAIRE, IL EST MORT DEPUIS SI LONGTEMPS ELLE AURAIT DU REFAIRE SA VIE, C’EST CE QU’IL AURAIT VOULU, ENFIN J’EN SUIS SUR CAR EN TANT QU’HOMME SI IL M’ARRIVAIT ÇA JE VOUDRAIS QUE MA FEMME REFASSE SA VIE ET NON QU’ELLE S’ENTERRE, DU MOINS FAÇON DE PARLER ! CETTE SITUATION NE CESSE DE DURER ET JE SAIS PLUS QUOI FAIRE. JE SAIS QU’ELLE SOUFFRE QUE JE SOIS LOIN MAIS JE L’AIME MAIS JE DOIS FAIRE MA VIE MOI AUSSI. IL FAUT QU’ELLE COMPRENNE »

CE SUJET ETAIT DUR MAIS C’ETAIT BIEN UN DES SEULS DERNIERS SUJETS QU’IL NOUS RESTAIT A MOI ET MELODY QUI NE CAUSER AUCUNE GENE MAIS QUI ETAIT TOUT AUTANT SERIEUX. JE SAIS QUE MA MERE ADORAIT MELODY, ELLE N’ARRETE PAS DE ME LE DIRE, ET JE NE SAIS PAS POURQUOI MAIS ELLE N’APPRECIE QUE PEU JAMIE. POURTANT ELLE NE LA CONNAIT PAS, ELLE NE PREND PAS LE TEMPS DE LA CONNAITRE COMME ELLE LE FAISAIT AVEC MELODY QUAND ELLE VENAIT A LA MAISON. MAIS VU SON ETAT JE LAISSE LES CHOSES AINSI. D’AILLEURS ALORS QUE MELODY ME DIT QU’ELLE IRAIT LA VOIR QUAND ELLE AURAIT DU TEMPS, CELA ME FIT PENSER QUE JE DEVAIS Y ALLER AUSSI. ELLE N’ETAIT PAS AU COURANT POUR MON MARIAGE, C’ETAIT RECENT ET JE N’ETAIS PAS RETOURNE A NEW-YORK DEPUIS UN MOIS ET DEMI. LUI DIRE AU TELEPHONE, C’ETAIT MEME PAS QUESTION. JE NE SAIS PAS DU TOUT COMMENT ELLE ALLAIT REAGIR FACE A MON ANNONCE MAIS DE TOUTE MANIERE ELLE DEVAIT S’Y FAIRE. MELODY M’ANNONÇA QUE C’ETAIT SA PAUSE, ALORS QUE JE FINISSAIS MON VERRE, ELLE QUITTAIT L’ARRIERE DU BAR POUR REJOINDRE LES PISTES. ELLE PASSAIT SON TEMPS A PARTIR ALORS QUE JE NE POUVAIS MEME PAS SURENCHERIR NOS CONVERSATIONS, JE ME RAPPROCHAIS D’ELLE ET LUI DIT :

« CA TE DERANGE PAS DE PARTIR EN ME LAISSANT EN PLAN ? »

JE ME MIS A RIRE DANS LE FOND C’ETAIT PLUTOT MARRANT DE LA VOIR CE BARRER COMME CI DE RIEN N’ETAIT COMME CI ON NE VENAIT PAS DE PARLER. MES POTES ME FIRENT UN SIGNE DE LA MAIN, CELA FAISAIT 5 MINUTES QU’IL M’ATTENDAIT CAR C’ETAIT A MOI DE JOUER, JE LEUR FIS SIGNE DE JOUER SANS MOI. QUOI APRES TOUT MELODY ETANT EN PAUSE. JE LA REGARDAIS DANS LES YEUX PUIS LUI DIS :

« J’AI UNE IDEE JE DOIS ALLER A NEW-YORK MOI AUSSI, ON CE FAIT UNE PARTIE, JE GAGNE TU VIENS AVEC MOI A NEW-YORK, TU GAGNE, JE VIENS AVEC TOI A NEW-YORK. »

JE ME MIS A RIRE DANS LES DEUX CAS TOUTE MANIERE C’ETAIT UN PEU DU PAREILLE AU MEME SINCEREMENT MAIS C’ETAIT LA L’IRONIE, C’EST QU’AU FOND JE NE LUI LAISSAIS PAS LE CHOIX.

« JE SUIS SINCERE SUR L’IDEE QU’ON AILLE A NEW-YORK, JE N’AI PAS ANNONCE MES FIANÇAILLES A MA MERE ENCORE ET JE NE VEUX PAS Y ALLER TOUTE SEULE. TU SAIS SON POINT DE VUE ENVERS JAMIE, ALORS JE PREFERE Y ALLER SEUL TU SAIS POUR TATER LE TERRAIN UN PEU ET LUI FAIRE COMPRENDRE QU’ELLE DEVRA DESORMAIS ETRE CORRECT ENVERS ELLE. JE NE VEUX PAS QU’IL Y EST DE MAL ENTENDU ENTRE ELLES. PAT CONTRE CELUI QUI PERD EMMENE LE PETIT DEJEUNER AU DORTOIR A L’AUTRE DEMAIN ? QU’EN DIS-TU ? »



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MessageSujet: Re: MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite    MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  I_icon_minitimeMar 28 Aoû - 14:50
Ce regard dans le mien pendant un coup instant me déconnectait alors qu’il parlait. Si il n’était pas fiancé, j’aurais presque pu imaginer qu’il tentait de me séduire mais non, impossible. Je tentais de rester impassible. Je ne devais pas me faire avoir. Impossible. Enfin dans toute la logique que je sois aussi amoureuse de lui alors que je ne devrais pas. La poisse. Je ne rajoutais rien, nous en venions surtout à parler du mariage et je devais avouer que cela me gênait surement un peu trop. J’avais de la chance, le bar était un peu plus vide. Parler de Matthew était complexe comme j’étais lui en ce moment mais il y avait aussi que j’étais assez triste de le savoir tellement loin ou même sous l’addiction des drogues. Déçue surement beaucoup et je culpabilisais aussi. Il fallait avouer que sans moi, il n’aurait surement pas fini ainsi et aurait sa place. Je changeais aussi vite de sujet en fait, nous évitions tous les deux des sujets mais j’étais trop aveugle pour m’en rendre compte au sujet du mariage. Peut-être qu’une sorte de déni était en moi. Un déni qui s’était aussi offert à son regard quand il parlait des hommes qui me méritait. Enfin… passons car tout cela vaguait dans mon esprit comme pour me contrôler et me faire peut-être au final dire des choses qu’il ne faudrait pas dire ou même penser. C’était mal, très mal de l’aimer. J’avais l’impression de trahir ma meilleure amie ou même de me trahir moi-même. Cela me bouffait par ce que si j’avais une once de force, j’irais sauter le pas et lui dire tout ce que je ressens mais je ne suis pas ainsi. Je ne suis pas de toutes les filles qui ne se soucient pas des autres. Jamie, je m’en souciais. C’était peut-être la seule chose qui me retenait parfois. Comment l’oublier ? Peut-être aussi que je me prendrais un gros blanc en lui annonçant mes sentiments alors autant éviter. C’est mal, ils doivent se marier et tu te retrouves à tenir la chandelle en te disant que c’est loin d’être ce que tu veux. Je ne voulais pas être cette fille sur la chaise au milieu qui doit contempler les sourires et les mots d’amours. Je lui demandais alors habilement des nouvelles de sa mère. Je savais pertinemment que celle-ci n’aimait pas du tout ma meilleure amie mais je ne pouvais pas contrôler ce que ressentent les autres personnes même si j’aimerais. Parfois l’on pourrait même croire que je suis ravie qu’elle ne l’aime pas, c’est égoïste et totalement faux. Je me contentais de bosser en l’écoutant attentivement et lançant un fin sourire, un brève sourire en le regardant. « Elle a juste peut-être envie de garder son fils près d’elle. Au fond, il existe des mères un brin aimant. T’as de la chance de l’avoir… », Au fond, heureusement pour lui car s’il en avait une comme la mienne… le pauvre. Je soupirais doucement en servant alors brièvement un client avant de le regarder. « Elle va bien aller ! », je lui souriais. Persuadée qu’elle allait s’en tirer par ce qu’elle avait quand même la chance de l’avoir. Il était proche d’elle et ça se voyait. J’aimais bien cette idée d’un fils et d’une mère fusionnelle. Parfois j’avais envie de juste avoir la même maman mais c’était la sienne. Je faisais toujours la différence, contrairement à Jamie, certes ! Non c’était mal de penser comme ça. Il fallait que je bouge.

L’heure de ma pause sonnait enfin à une ou deux minutes d’écart. Je voulais en profiter un peu et je ne prévoyais pas spécialement de le fuir. Je me disais qu’il allait me suivre en fait enfin… je voulais me dire qu’il n’allait pas le faire pour me sentir mieux mais je savais qu’il allait le faire. Etrange, je vous l’affirme. Je riais nerveusement en l’entendant avant de le regarder. « Rien ne te forçait à ne pas me suivre, non ? », soufflais-je doucement en me disant que c’était logique. Je n’étais pas loin et en pause, il était là. Je me doutais qu’il allait me suivre puis je n’allais pas rester au bar alors que j’y bossais. Clairement en fait, je m’attendais à ce qu’il approche mais je regardais aussi vers ses amis. Pourquoi il était avec moi et pas avec eux ? Je sentais bien que j’étais loin d’être sympathique avec lui, même si je ne pouvais pas être méchante aussi. Je tentais de rester éloignée mais quoiqu’il arrive, je me sentais bien avec lui. C’était étrange comme sensation. Frustrant aussi. Je le voyais faire signe à ses potes et je restais perplexe mais quand il me regardait dans les yeux, j’avais automatiquement le réflexe de détourner le regard en fronçant les sourcils alors qu’il me proposait étrangement d’aller à New-York. « Humm ? », demandais-je alors que oui, c’était totalement pareil et hors de sens mais je ne savais même pas si c’était une bonne idée d’y aller avec lui. New-York ? Là où tout avait commencé entre nous si même quelque chose avait commencé entre nous enfin je riais nerveusement. Il avait raison, elle n’aimait pas Jamie et donc je crois qu’il lui faudrait même beaucoup de forces pour admettre qu’elle serait sa belle-fille. Je levais les yeux en prenant la balle plus dans ma main car elle devenait lourde. « Tu sais bien que je vais gagner quoiqu’il arrive de toute manière ! », je ne répondais même pas à sa proposition, j’en avais peur. Je ne savais même pas si je devais le faire car avec lui ? Longuement en voiture ? Autant dire que j’allais devenir dingue. Peut-être que je pourrais même faire des bêtises, c’était ce que je redoutais. « Je ne sais pas… je suis… », J’allais dire que j’étais encore débordée mais il devait le savoir, je n’arrêtais pas de le répéter. « On verra… », disais-je surtout par ce qu’il fallait que j’y aille. Je l’avais dis. Il n’était surement pas con et aurait soupçonné un truc si je disais non alors que j’étais déjà assez suspect comme ça. Je n’étais pas vraiment partante pour autant. Je lui tentais un sourire en montrant la piste et prenant ma boule avant de pousser sur le bouton et allumer le circuit. « T’es prêt à perdre ? », disais-je d’un ton enjoué. L’effet du jeu sans aucuns doutes mais de compétition aussi. Il fallait que je mette de côté tout ce que j’avais en tête. La partie débutait et je mettais rapidement nos noms sur les tableaux avant d’aller vers la piste et brandir la boule en regardant les quilles descendre. « Les filles d’abord bien sûr ! », disais-je bêtement en allant me mettre en position. Les jambes décollées, les fesses bien placée et le dos un brin penché. On s’occupe de prendre de l’élan et hop, on lance la boule. Tout ça était tout une technique pour moi et un truc que je peaufinais depuis des années. Je revenais sans même regarder les quilles tomber ou non mais il n’en restait aucunes. « Verdict ? », je riais doucement en laissant la partie continuer son rythme entre boules et quilles à faire tomber comme des petits dominos. Retrouvant un peu le rire et le sourire mais aussi une aise avec lui. Peut-être par ce qu’on était seulement nous deux et qu’on redevenait un brin plus complice dans l’attraction du jeu.
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MessageSujet: Re: MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite    MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  I_icon_minitimeJeu 30 Aoû - 13:04

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J’AVAIS ENVIE DE PARTIR A NEW-YORK DU MOINS IL LE FALLAIT. MA MERE AVAIT BESOIN DE MOI ET CELA FAISAIT TROP DE TEMPS QUE JE NE L’AVAIS PAS VU. L’AVOIR AU TELEPHONE C’ETAIT BIEN TROP PEU. SURTOUT QUE C’EST UNE FEMME TRES FRAGILE. DEPUIS LA MORT DE MON PERE, ELLE AVAIT FAIT EN SORTE DE CE MONTRER FORTE POUR L’ENFANT QUE J’ETAIS PUIS DES QUE J’AI PU M’ASSUMER TOUTE SEULE, ELLE A BAISSE LES BRAS COMME CI ELLE C’ETAIT DIT C’EST BON IL N’A PLUS BESOIN DE MOI ALORS QUE C’ETAIT COMPLETEMENT FAUX. COMBIEN DE FOIS A NEW-YORK, MELODY M’AVAIT VU AU PLUS MAL A CAUSE DE MA MERE CAR JE NE SUPPORTAIS PAS LA VOIR MAL. LE PIRE C’EST QUE PARFOIS ELLE ALLAIT SI BIEN COMME CI DE RIEN N’ETAIT. COMME CI MA MERE AVAIT DEUX PERSONNALITES, NOUS SAVONS JAMAIS SI NOUS ALLONS VOIR LA FEMME « NORMALE » QUI FAIT SA VIE COMME TOUT LE MONDE OU LA FEMME COMPLETEMENT A L’OUEST JE DIRAIS. CE QUE J’AIMAIS AVEC MELODY C’EST QU’ELLE CONNAISSAIT MA MERE AINSI JE POUVAIS LUI PARLER D’ELLE LIBREMENT ET JE SAVAIS QU’ELLE ME COMPRENAIT, M’EPAULER… AINSI JE VENAIS DE LUI DEMANDER SI ELLE VOULAIT VENIR AVEC MOI A NEW-YORK, SUREMENT LA PIRE IDEE QUE JE N’AI JAMAIS EU, MAIS AU MOINS CELA M’EVITERAIT DE FAIRE LA ROUTE SEULE ET ELLE EGALEMENT. C’ETAIT PAS UNE PARTIE DE PLAISIR DE CONDUIRE SEUL, SUR CES GRANDES ROUTES A ATTENDRE SIMPLEMENT D’ARRIVER A DESTINATION. CERTES C’ETAIT TELLEMENT MIEUX DE FAIRE LE VOYAGE A DEUX MAIS CERTES C’ETAIT AUSSI TRES DELICAT SURTOUT DANS LA SITUATION OU NOUS ETIONS TOUT DEUX. JE L’AIMAIS MAIS ÇA APRES TOUT ELLE NE LE SAIT PAS. EN REPONSE A MA DEMANDE, UNE FEMME HESITANTE, QUI ME DIT NE PAS TROP SAVOIR, AVANT ELLE AURAIT DIT OUI, AVANT ELLE AURAIT SAUTE SUR L’OCCASION POUR FAIRE UNE VIRER ET QU’ON S’AMUSE. MAIS C’ETAIT AVANT, J’AIMAIS PAS ÇA MAIS LES CHOSES ETAIENT REELLEMENT PLUS DIFFERENTE MAINTENANT. JE NE LE DISAIS PAS, JE NE LE MONTRAIS PAS MAIS J’EN SOUFFRAIS BEAUCOUP.

BOULE EN MAIN, ELLE ANNONÇA LA COULEUR ME DEMANDANT SI J’ETAIS PRET A PERDRE JE ME MIS A RIRE ALORS QU’ELLE COMMENÇA SON PREMIER TOUR, JE LA REGARDAIS DANS LES YEUX FAISANT LA MOUE

« MOUAIS ARRETE FACILE POUR TOI, TU TRAVAILLE ICI TU DOIS T’ENTRAINAIS PENDANT TOUTE TES POSES C’EST NUL ÇA, C’EST VRAI QUE J’AURAIS DU PENSER A ÇA AVANT LA LANCE DU DEFI ! JE LE VEUX MON P’TIT DEJ AU LIT MOI ».

BON C’ETAIT MAL PARTI MAIS BON APRES TOUT CELA NE VEUT RIEN DIRE. JE PRIS UNE BOULE EN MAIN, ET COMMENÇA A LA LANCER, JE FIS TOMBER TOUTE LES QUILLES SAUF UNE, DEUXIEME TOUR POUR ESSAYER DE TOUCHER LA DERNIERE MAIS GOUTTIERE. JE LA REGARDAIS EN FAISANT LA GRIMACE…

« MOUAIS MOUAIS ON VERRA BIEN QUI RIRA LE DERNIER ! »

JE LUI FIS UN SIGNE DE LA MAIN POUR LUI LAISSER LE PASSAGE LIBRE AFIN QU’ELLE JOUE A SON TOUR, ALORS QU’ELLE ETAIT ENTRAIN DE CE CONCENTRER POUR FAIRE TOMBER TOUTES LES QUILLES, JE L’ATTRAPAIS PAR LA TAILLE, ELLE LAISSA TOMBER LA BOULE ET RESULTAT UNE SEULE QUILLE TOMBA. JE RIGOLAIS JUSQU'A CE QU’ON GLISSE SUR LE COUP SUR LA PISTE, POUR LA RATTRAPER ET QU’ELLE NE CE FASSE PAS MAL, JE TOMBAIS EN PREMIER AU SOL ET ELLE TOMBA DONC SUR MOI. AU MOINS CELA RALENTISSAIS LA COURSE. J’ETAIS MORT DE RIRE DE CE QUE JE VENAIS DE FAIRE JUSQU'A CE QUE JE ME RENDE COMPTE QU’ELLE ETAIT LA SUR MOI, SON CORPS TOUT CONTRE LE MIEN. ET FRANCHEMENT J’AIMAIS ÇA, JE DIRAIS MEME QUE J’ADORAIS ÇA… SI NOUS POUVIONS ETRE NU JE PENSE QUE ÇA SERAIT ENCORE PLUS PARFAIT. MAIS HOLA LES FANTASMES IL FAUT QUE JE REDESCENDE SUR TERRE MOI. JE RACLAIS DELICATEMENT LA GORGER ALORS QU’ELLE SE DEGAGEAIT AFIN DE CE REMETTRE DEBOUT. LES GENS N’ETAIS PAS DU GENRE A REGARDER, TOUS BIEN TROP OCCUPE A S’AMUSER ENTRE EUX ET TANT MIEUX D’AILLEURS.

« DESOLE, EN FAIT DANS LE FAIT DE TE FAIRE PERDRE L’EQUILIBRE POUR QUE TON LANCE SOIT MAUVAIS, JE NOUS AI FAIT PERDRE A NOUS MEME L’EQUILIBRE, C’ETAIT PAS PREVU.. »

PAS PREVU LOGIQUE JE VENAIS DE SENTIR SON CORPS CONTRE LE MIEN ET MAINTENANT J’EN REDEMANDAIS JE LA VOULAIS. JE TOURNAIS LA TETE DELICATEMENT VERS LA GAUCHE QUAND JE VIS UNE AMIE A JAMIE, PAS SA MEILLEURE AMIE, ELLE N’EST AUTRE QUE MELODY MAIS UNE AMIE PROCHE, JE LUI FIS SIGNE DE LA MAIN ET ELLE S’APPROCHA DE NOUS DISANT : « « JE VOIS QUE ÇA S’AMUSE BIEN ICI » ». JE REGARDAIS MELODY, PUIS CETTE FILLE, C’ETAIT MEME PAS MON AMIE, ET D’AILLEURS JE POUVAIS PAS LA PIFFRER, LE GENRE UN PEU SALOPE SUR LES BORDS, QUI AIME FOUTRE LA MERDRE, JE ME DEMANDAIS BIEN POURQUOI JAMIE APPRECIAIT CETTE FILLE. [DESOLE MORGAN MAIS ON TA RIEN DEMANDE ET J’AIMERAIS PASSER UN MOMENT SEUL AVEC UNE AMIE SANS UNE VIPERE DANS MES PATES ET SI TU VEUX QUE JE RESTE POLI CAR JE SUIS BIEN EDUQUE DEGAGE, J’AIME PAS LES FILLES QUI S’IMAGINENT DES CHOSES POUR ALLER FOUTRE LA MERDRE ET LA BIZARREMENT JE TE VOIS DEJA VENIR]

CETTE FILLE QU’EST CE QU’ELLE M’ENERVAIT, ELLE FIT UN « HUM » PUIS TOURNA SES TALONS ET CE BARRAIT D’AILLEURS DES TALONS SUR LA PISTE DE DANSE C’EST PAS INTERDIT ? JE REGARDAIS MELODY EN LUI DISANT :

« TOI QUI TRAVAIL ICI, JE SUIS SUR QUE TU PEUX FAIRE QUELQUES CHOSES ? REGARDE ELLE EST MEME PAS PASSE PAR LA CASE CHAUSSURE ET JE SAIS PAS COMMENT ELLE A FAIT… »


AU FOND JE FAISAIS MINE DE RIEN MAIS J’ETAIS BIEN CONTENT QUE CELLE-CI ARRIVE POUR NOUS FAIRE CHIER, CAR J’ETAIS TROP TENDU, MAL A L’AISE ET TOUT CE QUI EN SUIT. AVEC SON ARRIVE JE POUVAIS PENSER A AUTRE CHOSE QUE LE CORPS DE MELODY, ENVOYER CHIER MORGAN ET DU COUP JE ME SENTAIS MIEUX, MEME SI JE N’OUBLIS PAS EN MEME TEMPS CELA C’EST PASSE IL Y A DEUX SECONDES….


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MessageSujet: Re: MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite    MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  I_icon_minitimeJeu 30 Aoû - 17:38
Je souriais, fière de moi en l’entendant se plaindre par ce que c’était trop facile mais je n’y pouvais rien sauf sourire en l’entendant. C’est triste, j’ai l’avantage mais je suis une femme au fond. C’était un peu drôle de savoir que j’avais vraiment l’occasion de plus vite gagné que lui et je m’en amusais même. Riant de bonne joie en l’entendant parler de son petit déjeuner au lit. Je me retenais de lui dire d’en demander un à sa fiancée mais la connaissant… elle préférerait nettement qu’il lui apporte que de le faire. Enfin je n’imaginais pas ma présence dans sa chambre ou même dans son lit. Je ne voulais même pas y penser car je n’y avait pas ma place. Je ne l’aurais jamais. Comment aimer une fille tellement idiote comme moi ? Je n’étais que le fruit d’un couple qui n’avait même pas grand intérêt. Une suicidaire aussi… oui, les mots sont crus mais il fallait bien que je l’admette même si ce n’était pas pour mourir mais juste pour souffrir. C’est quand même le cas, c’était une tentative que je ne voulais pas faire mais éprise d’une grande tristesse. Enfin passons les moments tristes et occupons-nous du bowling d’ailleurs c’était ce que je fis. Bien sûr ma pause n’était pas à rallonge donc il fallait que l’on aille vite sinon l’on n’aurait jamais réponse à notre petit pari qui n’avait pas vraiment de sens comme quoiqu’il arrive, on y allait. L’entendre râler, m’amusait clairement. Je riais après avoir fait mon petit strike. « Je ris toujours… perdue ou gagnée ! », je n’étais pas vraiment une mauvaise perdante donc c’était assez pratique pour moi. Quand il me fit signe d’y aller, c’est ce que je fis sagement en ne pensant même pas qu’il serait capable de me faire une farce. Je lâchais un léger « Ahhh… », je le sentant faire et me retrouvais sur lui. C’était de la triche. Oh ouais, le méchant, il allait voir de quel bois que je me chauffais. Bien sûr, je ne me contrôlais pas enfin mes jambes et je me retrouvais aussitôt à tomber avec lui et merde. C’était loin d’être embêtant et pourtant, c’était un bon embêtant.

Je ne me rendais pas de suite compte de ce qui se passait. Moi sur lui, c’était presque étrange. Je me sentais étrange, je restais taciturne et gardant au début un brève sourire de satisfaction mais le perdant au fil du malaise que j’avais en me souvenant que l’on ne serait qu’amis et que je n’avais même pas le droit de penser que cela serait tellement plus pratique si nous étions en tenus d’Adam et Eve. Je tentais de ne rien montrer de ce malaise en riant un peu alors qu’il parlait de l’équilibre. « C’est ça, ouais. Tu voulais me faire tomber… », moi qui avait tellement d’équilibre à la gymnastique. Je ne tenais jamais sur mes jambes en dehors. Parfois il suffit seulement de ce qu’on nomme : l’assurance. Cela changeait beaucoup chez tout le monde. Il ne faut pas croire. Je ne voulais même pas croire qu’il l’a fait exprès pourtant… au fond, pourquoi aurait-il voulu que je me retrouve sur lui. Bien sûr, je me redressais dès que j’en avais l’occasion par ce que plus vite c’était et mieux, c’était. Même si je me répétais fameusement dans ma phrase. Il fallait dire que rester debout comme une carotte me rendait surement autant nerveuse. Je riais nerveusement alors qu’une personne arrivait par derrière. Je la regardais, cette Morgane que je connaissais de vue surtout. Je fronçais les sourcils car sérieusement de quoi elle se mêlait ? Je fronçais les sourcils. « Oui, ici, on s’amuse et par là aussi ! », disais-je à mon tour en montrant un endroit qui était bien loin d’être ici en notre présence. Je n’aimais pas toujours les amis de Jamie. Bien sûr à son hum avant qu’elle ne parte. Je fronçais les sourcils non mais de quoi elle se mêle ? Depuis quand on n’a pas le droit d’être des amis ? Vraiment ? Alors qu’il se plaignait de la fille, j’allais tourner la tête vers elle pour regarder ses chaussures en riant avant de regarder ma collègue et la désigner avec un signe distinctif. Elle allait aussitôt réprimander la jeune femme mais je tournais mon regard vers lui en haussant les épaules. « Comme ça ? », demandais-je presque amusée en souriant doucement. « Maintenant que tu as triché pour que je perde, t’es fier de toi ? », je riais nerveusement. « Il me reste encore un coup… », disais-je en lui offrant un sourire des plus malicieux. « Qui te dit que je vais perdre… », c’était étrange pour moi. Je voulais ne plus penser à m’être retrouvée sur lui précédemment et je voulais aussi y penser par ce que c’était tout ce que j’aurais mais non, c’était con. Je ne pouvais pas me comporter ainsi. « Oh et tâches d’être loyal… », plaisantais-je avant d’y aller avec un grand sourire bien moqueur et prenant la boule à nouveau pour aller mettre chaos seulement 8 quilles. C’était de sa faute, j’étais un peu ailleurs. Je crois que j’étais encore un peu : par terre avec lui dans ma tête. C’était un peu l’horreur. Mon esprit ne voulait pas y penser mais mon corps en frissonnait encore légèrement. Je fis une moue en le pointant du doigt. « Ça c’est de ta faute, tu vas me le payer… tu m’as toute déréglée… mon mécanisme de gagnante ! », bon d’accord pas vraiment mais en gros, oui… un peu mais oublions les détails.

Je fis une fine mine boudeuse en allant vers le côté pour le laisser passer et faire son tour mais rien doucement avec un sourire malicieux, j’entrepris donc ma petite vengeance en allant derrière lui et lui chatouillant les côtes pour voir la balle retomber encore dans la rigole. J’étais fière de moi et allant déposer un baiser sur sa joue. « Chacun son tour, mon cher ! », pourquoi un baiser ? Lot de consolation simplement pour lui ou pour moi ? Bon d’accord peut-être un peu des deux mais ce n’était pas la première fois que ça arrivait. Ce n’est qu’un baiser sur la joue et donc rien de mal. Je restais pourtant là avec les mains posés sur ses côtes en regardant la balle aller près des quilles, elle était lente, les boules quand elle se rendait tout en dessous était toujours lente. Je riais. « Elle va y arriver un jour ? », je ne me rendais même pas compte que j’étais encore dans son dos et les mains sur lui avant bien sûr de tinter et reculer en les retirant. « Oups… faudrait pas que Madame Morgane s’alarme ! », gagnée pour l’excuse mais prendrait-il ? Tu t’étais quand même laissée aller en les laissant contre lui et pourquoi ? Simplement… en fait, je n’en savais rien mais j’étais restée comme ça, c’était bien plus simple. Je souriais en retournant voir les points. « Bah… je ne perds pas, c’est déjà ça mais toi… », je grimaçais. « Je vais devoir me faire pardonner, je crois… », je riais en allant lui rechercher sa boule et lui ramenant en souriant. Je levais une main libre. « Promis, je ne recommence plus… par contre ma pause termine dans pas longtemps… », je riais en fronçant le nez. « Pas de tout repos de bosser ! », disais-je en me disant que je n’avais même pas besoin de ça comme papa était même le plus riche de la ville mais on s’en fiche des détails sans bien d’importance.
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MessageSujet: Re: MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite    MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite  I_icon_minitimeLun 3 Sep - 10:26

Plus je suis loin de toi, mieux je me porte


Mattéo & Mélody

HONNETEMENT JE PRENAIS VRAIMENT DU BON TEMPS EN COMPAGNIE DE MELODY. POUR LA PREMIERE FOIS DEPUIS LONGTEMPS BIEN QUE J’ETAIS MAL A L’AISE POUR CERTAINES SITUATIONS, J’AVAIS ENFIN L’IMPRESSION DE LA RETROUVER, CELLE QUI ME SOURIAIT TOUT LE TEMPS, CELLE POUR QUI MON CŒUR BAT ET QUI NE ME FUIT PAS. AU FOND CETTE MORGANE QUE JE DETESTE ET QUE MELODY N’AVAIT PAS L’AIR D’APPRECIER NON PLUS, ME FIT PLUTOT RIRE EN INTERVENANT. NON SEULEMENT ELLE ETAIT RIDICULE ET NOUS L’AVIONS ENCORE PLUS RIDICULISER EN RAPPELANT AUX EMPLOYES QUE CETTE FILLE N’AVAIT PAS LES CHAUSSURES ET ELLE SE PRIT UNE PETITE REFLEXION, MAIS EN PLUS ALORS QUE J’ETAIS PLUTOT MAL A L’AISE MEME SI JE NE LE MONTRAIS PAS, ELLE M’AVAIT REMIS LES PIEDS SUR TERRE VITE FAIS POUR L’ENVOYER CHIER. ET DIRE QUE CE GENRE DE FILLES PESTES, IDIOTES ETAIENT LES PLUS POPULAIRES DU CAMP, POURQUOI JUSTE PARCE QU’ELLES ONT DES FORMES, SONT BELLES ET PETE PLUS HAUT QUE LEURS CULS COMME LE DIT L’EXPRESSION. MAIS MOI CE GENRE DE FILLE NE M’INTERESSAIT PAS ET EN PLUS JE LUI AVAIS BIEN FAIT COMPRENDRE, ELLE M’AVAIT D’AILLEURS DRAGUE DANS LES TOUT DEBUT OU J’ETAIS ARRIVE, J’ETAIS ENCORE CELIBATAIRE A CE MOMENT LA. ALORS QUE NOUS REPRENIONS LE JEU, C’ETAIT A MELO DE JOUER ET JE ME MIS A RIRE EN VOYANT SON JEU, ELLE QUI ETAIT TOUTE FIER D’AVOIR FAIT UN STRIKE JUSTE AVANT.

« BAH ALORS ON PERD LA MAIN »

J’AVAIS JUSTE ENVIE DE ME FOUTRE D’ELLE, EN TOUTE AMITIE BIEN EVIDEMMENT. JE LUI TIRAIS LA LANGUE ALORS QUE C’ETAIT A MON TOUR DE JOUER. J’ECOUTAIS SES EXCUSES BIDONS DU GENRE C’EST MOI QUI L’AVAIT DEREGLE JE ME MIS A RIRE POUR LA TAQUINER ENCORE UN PEU JE RAJOUTAIS :

« ARRETE DIT PLUTOT QUE TU NE SAIS PAS JOUER ET QUE TOUT A L’HEURE C’ETAIT JUSTE UN COUP DE CHANCE ! »

JE PRENAIS MA BOULE AFIN D’ESSAYER DE FAIRE UN STRIKE A MON TOUR, JE NE POUVAIS PAS ME LAISSER BATTRE PAR UNE FILLE, OUI J’AI UN PETIT COTE MACHO EN MOI. MAIS RIEN DE MECHANT JE NE DEVIENS PAS NON PLUS AGRESSIF JUSTE PARCE QUE JE PERDS. JE ME MIS EN PLACE ET JE ME PREPARAIS CORRECTEMENT LES JAMBES BIEN FLECHIS, ALORS QUE JE ME PREPARAIS A TIRER AU MOMENT OU JE LE FIS JE SENTIS DES CHATOUILLES DANS TOUT LE CORPS, FAISANT TOMBER MA BOULE AU SOL, ALORS QU’ELLE AVANCE LENTEMENT, TRES LENTEMENT.

« OH CHIOTTE, C’EST DE LA TRICHE »

JE REGARDAIS DOUCEMENT LA BOULE QUI PARCOURAIS SON CHEMIN, JE NE FAISAIS MEME PAS ATTENTION QUE MELO AVAIT SES BRAS AUTOUR DE MA TAILLE, NOUS ETIONS TRES ATTENTIF, MAIS FAUT PAS REVER ELLE FINISSAIT DANS LA GOUTTIERE SANS MEME TOUCHER UNE SEULE QUILLE. PUIS JE FIS ATTENTION QU’ELLE ETAIT TOUJOURS ATTACHER A MA TAILLE, J’AIMAIS ÇA, J’ADORAIS ÇA, J’AIMERAIS TELLEMENT ME RETOURNER, LA PRENDRE TOUT CONTRE MOI ET L’EMBRASSER. J’EU D’AILLEURS LE DROIT A UN BAISER MAIS SUR LA BOUCHE, ELLE ME FAISAIT DE L’EFFET C’ETAIT UN TRUC QUE JE NE POUVAIS PAS CONTROLER ET J’ALLAIS ME MARIER, IL Y AVAIT UN GROS SOUCIS QUI CE POSER LA. COMMENT DIRE OUI DEVANT LE CURE QUAND NOTRE CŒUR, NOTRE CORPS, EST PERDU, N’ETAIT PAS SUR QUE C’EST LE BON CHOIX. JE L’AIME JAMIE ÇA OUI IL N’Y A AUCUN DOUTE, MAIS JE CROIS QUE MES SENTIMENTS POUR MELODY SONT BIEN PLUS FORT, BIEN PLUS INCONTROLABLE. EN TOUT CAS UNE CHOSE EST SUR CONCERNANT LA PARTIE, J’ETAIS BIEN MAL BARRE, MAIS EN TANT QUE BONNE JOUEUSE ELLE PARTIE ME REPRENDRE MA BOULE POUR QUE JE PUISSE REJOUER. MORGANE N’ARRETAIT PAS DE NOUS REGARDER, IL FAUT DIRE QUE CETTE NANA A TOUJOURS EU UN FAIBLE POUR MOI ET CHERCHERAI N’IMPORTE QUELLE BONNE EXCUSES POUR CASSER MON COUPLE AVEC JAMIE, QUI EST AU PASSAGE UNE BONNE AMIE A ELLE QUAND MEME. MAIS QUE VOULEZ VOUS LES GARCES SONT COMME ÇA. ELLE FAIT STYLE DE ME SURVEILLER POUR JAMIE, POUR SON AMIE, C’EST JUSTE POUR AVOIR DES CHOSES CROUSTILLANTES…

ELLE ME DISAIT QUE SA PAUSE SE TERMINER D’ICI PEU, C’EST CLAIR NOUS AURIONS PAS LE TEMPS DE JOUER TOUTES LES PARTIES ET D’ELIRE LE VAINQUEUR.

« ENCORE DEUX PARTIES, MEME SI ON FINI PAS LE MEILLEUR SCORE L’EMPORTE A L’ISSUE DES DEUX DERNIERES PARTIES ? »

JE LE VOULAIS MON PETIT DEJEUNER AU LIT MOI, QUOI QUE IL NE FALLAIT PAS QUE J’OUBLIE QUE EN CAS DE PERTE C’ETAIT ELLE QUI AURAIT LE DROIT A SON PETIT DEJEUNER AU LIT. PEU IMPORTE ELLE ME MANQUAIT ET MEME SI C’ETAIT DUR D’ETRE AUPRES D’ELLE SANS POUVOIR RIEN FAIRE, JE CROIS QUE C’ETAIT AUSSI DUR DE PAS L’AVOIR DANS MA VIE. ENFIN SI ELLE N’EST PAS LA JE PENSE A ELLE ET JE SOUFFRE. SI ELLE EST LA JE LA VEUX ET SOUFFRE. ALORS A QUOI BON JE CROIS QUE DANS TOUS LES CAS C’EST DUR. JE ME SENTAIS BIEN LA J’AVAIS VRAIMENT PAS ENVIE QU’ELLE REPRENNE LE TRAVAIL MAIS C’ETAIT COMME ÇA J’IRAIS REJOINDRE MES POTES ET CONTINUER MA SOIREE COMME CI DE RIEN N’ETAIT. JE ME MIS DEVANT LA PISTE ET COMMENÇA A LANCER, JE PENSAIS TRES FORT AU PETIT DEJEUNER ET JE FIS UN STRIKE, JE SAUTAIS EN L’AIR FAISANT UN GESTE DU POINT.

« YEAH QUE DIS TU DE ÇA ? HUMM GAUFRE AU CHOCOLAT, CAFE, JUS D’ORANGE, YAOURT »

JE ME MIS A RIRE SACHANT QU’ELLE AVAIT AUSSI FAIT UN STRIKE JUSTE AVANT RIEN N’ETAIT ENCORE GAGNE. IL NE FAUT JAMAIS VENDRE LA PEAU DE L’OURS AVANT DE L’AVOIR TUER, ALORS SI JE ME PENSAIS DEJA GAGNANT AVANT L’HEURE J’ALLAIS ME FAIRE AVOIR. MAIS LA C’ETAIT SURTOUT POUR LA TAQUINER UN PEU QUE JE M’IMAGINAIS CE PETIT DEJEUNER EN TETE.

« SI TU FAIS UN STRIKE, JE MONTE SUR LE BAR ET JE FAIS UN STREAP-TEASE EN BUVANT UN BON VERRE DE WHISKY. »

EN PLUS CE QUI ETAIT BIEN C’EST QUE LES HOMMES ICI, QUI FAISAIT DES STREAP-TEASE, ETAIT CONSIDERER COMME « METTEUR D’AMBIANCE » AINSI CELUI QUI ENLEVE TOUT ET QUI CE CACHE AU PARTIE INTIME SI IL LE SOUHAITE GAGNE UNE BOUTEILLE DE CHAMPAGNE GRATUITE, JE L’AVAIS ENCORE JAMAIS FAIT MAIS J’AVAIS EU LE DROIT A BEAUCOUP DE BOUTEILLE COMME ÇA PAR MES POTES QUI ADORENT DELIRER COMME ÇA. J’AVAIS UN PETIT PEU BU DEJA ET LA JE CROIS QUE J’EN ETAIT LIMITE CAPABLE…



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MATTEO • c'est quand on évite, qu'on courre vite

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