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ALEKSEY • c'est ironique, c'est une blague ?
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Melody S. Cooper-Fawkes
✿ PSEUDO : Crazy Bunny
☂ AVATAR : Nina Dobrev
► PAYS : Belgique
► POINTS : 240
► BIRTHDATE : 10/01/1989
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ALEKSEY • c'est ironique, c'est une blague ? Tumblr_lro7q6gkih1qbmw3bo1_500 ► AGE : ... à venir
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► SURNOMS : Mel, Mely, Melo, Melo Cake, Cake, Caky, Ode, Sab' en fait... vous voyez. Je suis le genre de fille qui se retourne pour un oui ou un non donc je suis sûre que je réagirais.
► CITATION : En amour comme à la guerre tous les coups sont permis !

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MessageSujet: ALEKSEY • c'est ironique, c'est une blague ?   ALEKSEY • c'est ironique, c'est une blague ? I_icon_minitimeLun 27 Aoû - 0:25
When you think everything's gone wrong and everything blows up

Sous ce soleil frappant mes épaules. Cette robe de la veille que j’allais changer dans ma chambre. Cette robe surement bien trop courte et trop fine pour une jeune fille de bonnes familles. Mes yeux douloureux au soleil, trop douloureux. Cette migraine frappant comme un concert de Marilyn Manson dans ma tête. Cet air de jeune fille endormie qui n’a d’autres qu’une belle gueule de bois. Pourquoi boire comme un trou pour oublier que l’on aime crétinement (inventons des mots, je ne suis pas à ça prêt après cette nuit à mon avis) le fiancé de sa meilleure amie ? Ou même que son frère jumeau nous échappes d’entre les manies à cause de la drogue ? Comment survivre dans ce monde bien injuste. Je soupirais doucement alors que je venais d’enfiler un jogging et un haut après une bonne douche qui n’avait vraiment réussie qu’à désincruster que 40% de cette répugnante odeur. Je devrais peut-être même rester au fond de mon lit et pleurer toute la journée de mon imbécile manie d’attirer les ennuis. Je n’étais pourtant pas comme les filles qui vont ainsi se renfermer sous les couettes alors que la journée pourrait être si belle ou on s’en donnait un peu la peine mais non, je préférais prendre un gilet et aller me promener pour un petit jogging. Evacuer l’alcool par le sport ? Parfois cela fonctionne et d’autres fois, pas vraiment. Je devais avouer ne pas encore marcher très droit et mes yeux partaient un peu dans tous les sens en plus d’être bien servis de cernes énormes et d’une couleur rougeâtre. Je fis une moue en allant vers la sortie du dortoir et trottinant légèrement, pas vraiment droit. Je soupirais en allant vers la le par cet prenant ma bouteille d’eau comme compagnon mais sérieusement ? C’était l’enfer. Marylin était encore en plein concert dans ma caboche et j’étais totalement perdue dans mes émotions. Pourquoi boire pour oublier des problèmes alors que plus je buvais et plus c’était profond. Je n’arrivais pas à les effacer. Ce moment où j’avais lu la lettre de mon frère ou alors que j’avais bêtement osée parler avec mon couple d’ami qui venait m’annoncer joyeusement : on est fiancé. Bien sûr la plus belle bourde était d’aller dormir dans la chambre d’une pure inconnue et me trompant donc d’étage. J’ai l’art de m’afficher sérieusement. Je ne courrais pas vraiment je marchais vite, je tentais vraiment d’être énergique mais l’on sentait bien le mouvement las et trop poussé. Je finissais par aller m’allonger sur un banc et posant ma serviette sur mon visage en réfléchissant. C’était mon jour de repos, tellement d’options pour moi. Tellement de choses que je pourrais faire mais pas vraiment d’énergie. J’aurais peut-être dû retourner dans mon lit mais non, je préférais me redresser et m’apprêter à aller vaguer ailleurs. C’était ainsi. Je larguais ma bouteille d’eau dans une poubelle alors qu’elle était vide pour en prendre une deuxième au vendeur ambulance. Je le saluais d’ailleurs sous mes belles lunettes donc les verres étaient noirs. Je soupirais doucement, encore. Je suis la reine du soupire parfois. Dès que je vais mal, on le sent aux nombreux soupires. C’est idiot cependant c’est ma façon d’extérioriser.

Je repris en quelques sortes ma course en direction du centre d’études. Je traversais les allées avant de rejoindre le bâtiment. Poussant la porte avec une légère moue. Etant à l’intérieur, je retirais mes lunettes surtout machinalement. Une bien foutue habitude que j’avais et qui était bien mauvaise. Je levais les yeux vers le plafond blanc. Il était tellement blanc qu’il m’aveuglait, aussitôt je remettais mes lunettes en longeant les murs avec ma main comme pour m’y accrocher ou savoir qu’ils étaient là. C’était toujours ce que je faisais. Une ridicule habitude. C’est alors que je marchais sans vraiment de but dans les allées que je regardais par ici et par là par les fenêtres. Qu’est-ce que je faisais ? Je ne faisais rien que flâner. J’aurais aussi bien pu rentrer chez moi pour être disons : à la maison. Prendre le remède de papa et surtout me poser tranquillement au bord de la piscine comme j’en avais l’habitude après une gueule de bois mais non, là je me contentais bêtement de me balader dans des couloirs. C’est alors que je regardais surtout mes pieds en m’étonnant qu’ils commencent à marcher droit que je ne vis pas vraiment la porte s’ouvrir et paf. C’était là que je me rendais compte que j’avais surement mal au nez. J’y mis aussitôt la main dessus. Je venais effectivement de me ramasser la porte en plein sur la face et aie. Je fis une moue en me massant. « Mais aie… », disais-je en regardant la porte mais tentant aussi de la fermer. J’étais bête mais tellement maladroite hors de la gymnastique que je m’attendais à avoir surement manquée de regarder devant moi, elle était surement déjà ouverte. Pas de bol, je poussais mais elle était bloquée. Intriguée, je passais la tête discrètement devant la porte en posant une main contre celle-ci. C’est en voyant Aleksey, mon prof de musique mais bien plus hors du camp que je souriais timidement en fronçant le nez. « Bonjour ! », je posais alors mon index sur mon nez mais un peu maladroitement qu’il ripait pour aller sur mes lèvres. « C’était mon nez, ça ! Je pourrais me plaindre à la direction. Je suis une étudiante battue. Ça craint, sérieusement. Je vais vraiment me plaindre. Je devrais... », je riais nerveusement en redressant mes lunettes pour mieux le regarder et par politesse. Dévoilant ma tête bien pitoyable.
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Aleksey B. Guennadi
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MessageSujet: Re: ALEKSEY • c'est ironique, c'est une blague ?   ALEKSEY • c'est ironique, c'est une blague ? I_icon_minitimeMar 28 Aoû - 20:43
ALEKSEY • c'est ironique, c'est une blague ? Tumblr_lobnn0zfgV1qd96bco1_500

    Kate ?

    Penelope ?

    Cynthia ?

    Jennifer ?
    Quoi ?
    Le jour est levé, il faudrait que tu partes maintenant.
    Mais enfin, je …
    Tes affaires sont là. Moi je vais prendre une douche et quand je reviens, tu ne seras plus là.
    Espèce de …
    La porte n’est pas fermée à clé, tu peux y aller.

    Il avait mit du temps à retrouver le prénom de cette charmante jeune femme allongée nue, dans son lit, mais il avait réussit à le retrouver. Après ça, autant qu’elle s’en aille. Il ne ramenait jamais de femmes chez lui, c’est pour ça qu’aujourd’hui, il se retrouvait chez un ami qui avait laissé sa maison pendant les vacances. Allant donc prendre sa douche, Aleksey, apprécia l’eau chaude. Son corps lui disait qu’il avait trop forcé sur les exercices physiques hier soir, mais il se mit à sourire à cette pensée. Cette femme avait été plus que souple et il devait avouer qu’il avait apprécié. Bref, une fois sortit de là, il se sécha et alla prendre son petit déjeuner. Mangent tranquillement, avec de la musique en fond sonore, il regardait également le journal. Le début de journée était parfait. Malheureusement, il devait partir pour le camp. Il avait des choses à préparer pour la rentrée. Il avait de nouveaux étudiants et il fallait qu’il lise leurs dossiers avant qu’ils ne débarquent en cours. Allant s’habiller, il pencha pour un tee-shirt gris, un jean et sa paire de Converses bordeau. Puis, il fila en vile, allant s’acheter un petit quelque chose à manger, avec une bouteille d’eau. Une fois le tout payé, il remonta sur sa moto et partit au camp, il n’y avait pas grand monde là-bas. Ca n’était d’ailleurs pas plus mal. Il serait au calme et personne ne serait là pour l’embêter. Allant à son bureau, il ouvrit la porte, la laissant ouverte. Il n’avait décidemment pas assez de fenêtre dans ce bureau pour avoir une aération correcte et ne pas mourir de chaud. Lunettes sur le nez, il fut paré pour lire les dossiers. Faisant un tri entre les débutants et les autres, il cherchait les failles et les points forts avant d’entendre quelque chose butter contre la porte de son bureau. Pas d’autre bruit ? Sans doute rien. Il se replongea dans sa lecture, avant d’entendre une voix. Regardant par-dessus ses lunettes, il posa ces dernières sur son bureau, pour écouter la jeune femme qui venait d’entrer, face à lui. Quand ce fut elle qui enleva ses lunettes, il haussa un sourcil.

    Tu devrais t’asseoir avant tout.

    Au vu de la tête qu’elle avait, la soirée avait dû être bien arrosée. Attrapant un gobelet pas très loin, il lui servit un verre d’eau et le posa sur son bureau.

    Bois ça.

    Puis, il croisa les bras et soupira doucement.

    Alors, pas trop mal au crâne ? Parce que sinon je peux ajouter une aspirine avec le verre d’eau.

    Il se mit à sourire en coin, en fixant la jeune femme, qui semblait vraiment dans un sale état.

    Ne me dis pas que tu t’es mit dans cet état pour un garçon, parce que sinon ce type aura de mes nouvelles.

    Oui, parce que pour le russe, si une fille se met dans un état comme celui là c’est forcément à cause d’un garçon et des histoires de cœur. C’était sans doute macho, mais pour lui, c’était la réalité.

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MessageSujet: Re: ALEKSEY • c'est ironique, c'est une blague ?   ALEKSEY • c'est ironique, c'est une blague ? I_icon_minitimeJeu 30 Aoû - 16:06
Une porte et aie. Punaise qu’est-ce que je détestais les portes. A quoi cela servait ? Je voulais en ce moment même : vivre sans porte. Je vous jure, allez, c’est bien plus pratique, non ? Sérieusement. Je n’en voyais même pas l’intérêt en ce moment même surtout que ma migraine passait encore malgré les aspirines que je ‘m’étais autorisée de prendre. Boire était interdit ou du moins proscrits pour les sportifs du camp mais je m’en étais un peu foutu cette nuit. Pourquoi ? M’amuser et oublier. Parfois l’on a seulement envie de ça. Oublier. J’inspirais en allant vers la porte enfin la tête passant et me demandant si je n’aurais pas dû regarder qui était derrière enfin je ne savais pas vraiment par où commencer car je venais surtout de me prendre une porte ce qui n’était pas rien et retirant mes lunettes, je ne me rendais même pas compte que j’avais les yeux d’un zombie. M’asseoir ? A ce mot, j’arquais un sourcil en regardant l’homme que je connaissais en fait assez bien, surement pas plus que lui-même mais bon, voyons vous m’avez compris. Hein hein ? J’ai la gueule de bois mais je suis lucide. J’allais donc prendre place sur la chaise en était une jeune Melody obéissante. Oui, je suis docile surtout quand j’ai la tête en comporte mais bon, évitez de me demander de faire des pompes car là, je vous regarderais tous bizarrement mais lucide, je vous l’assure. « Ok, chef, je suis assise… », je le regardais aller servir le verre d’eau mais je ne pouvais m’empêcher de rire nerveusement en l’entendant me dire de le boire et je le regardais avec une moue. « Merci même… si je n’ai pas soif ! En fait, plus… », en fait j’avais surtout sifflée deux bouteilles d’eau en même pas 1 heures. Je buvais énormément d’eau faut dire. Bien sûr pour ne pas me faire plus réprimander, je buvais mon verre par ce que bien sûr, je ne voulais pas que cela arrive. Une moue se dessinait alors que je buvais quand je l’entendais proposer un cachet. Je ne pus m’empêcher d’arrêter de boire et le regarder en grimaçant. « Je crois que je vais finir par en devenir un à force. Ça ira ! », j’en avais déjà assez pris puis je savais d’expérience que cela ne servait à rien d’en prendre plusieurs en 4 heures. Là, je le vois avec les bras croisés et aussi qu’il me fixe, tu te dis : je vais en prendre pour mon matricule. Cela avait tellement été compliqué pour moi d’obtenir un peu d’attention de lui surtout qu’à ce moment-là. Surtout qu’à l’époque, je voulais tout sauf de l’attention. J’étouffais de celle que me donnait mon frère et mon père. J'avais juste besoin d’une porte que l’on m’ouvre pour m’échapper et éloigner aussi els regards des habitants de Greeley. Des préjugés par milliers à ma personne. Des mots blessants mais tellement vrai qui sonnait avec fluide… ou presque. Des mots que tu assumes de dire mais pas qu’on te les dise.

Et bam, c’est là qu’il parle de garçon, je baissais le regard car cela serait tellement simple que cela concerne seulement Mattéo, tellement. Enfin peut-être pas. Là, je me demandais même si j’avais seulement dit qu’ils venaient aussi de se fiancer. Lui et ma meilleure amie. C’était dingue enfin, je souriais, un sourire en coin surtout pour dire : Je tiens bon, je vais bien. Peut-être aussi pour m’en persuader ? Allais-je réussir mon cou ? Je n’en savais rien et je riais nerveusement en passant une main sur mon front avant de prendre encore une gorgée de ce verre d’eau. « Si seulement c’était aussi simple qu’un garçon… mais on va éviter la bagarre ça me tuerait s'il apprenait pareillement ce qui se passe dans ma tête. Mais c'est pas que ça... », je n’avais que 20 ans que j’aurais pue me demander si ma vie n’était pas faite pour ne jamais tourner rond. Une mére qui me hait… enfin si l’on veut disons qu’elle ne m’aime pas. Un frère qui est dieu je ne sais ou à faire des galipettes ? Prendre un rail de coke ? Je n’en savais rien mais quand c’est votre frère jumeau, vous voulez le savoir. Je levais le regard vers lui, honteuse. « Tu ne vas rien dire aux responsables ? Rassures-moi ? Je ne veux pas perdre ma place aussi vite. L’année n’a même pas commencée que je déraille déjà. Promis que je ne recommencerais plus mais je t’en prie… ne dis rien ! », et là, je me fonds de panique pour m’assurer que cela serait secret. Cette honteuse prise d’alcool. « Je veux bien faire tout ce que tu veux pour me rattraper mais je t’en prie, ça peut rester juste entre nous ? », j’étais nerveuse car je ne voulais vraiment pas que l’on me foute à la porte pour une nuit de déprave qui n’était que le fruit d’une clair déprime. Je soupirais en baissant à nouveau le regard et me disant que je devrais surement passer des aveux mais là, j’avais juste peur que cela finisse sur le bureau du principale mais aussi horriblement mal à la tête. Je me demandais même si ce mal n’était pas un peu psychologique.
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MessageSujet: Re: ALEKSEY • c'est ironique, c'est une blague ?   ALEKSEY • c'est ironique, c'est une blague ? I_icon_minitime
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