Le Deal du moment : -40%
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 ...
Voir le deal
59.99 €

FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 


Melody S. Cooper-Fawkes
✿ PSEUDO : Crazy Bunny
☂ AVATAR : Nina Dobrev
► PAYS : Belgique
► POINTS : 240
► BIRTHDATE : 10/01/1989
► MESSAGES : 186
► BOUGIES : 35
► REGISTRATION : 15/07/2012

Always higher
FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  Tumblr_lro7q6gkih1qbmw3bo1_500 ► AGE : ... à venir
♥ LOVE : Célibataire
► SPORT : Football&Gymnaste
► SURNOMS : Mel, Mely, Melo, Melo Cake, Cake, Caky, Ode, Sab' en fait... vous voyez. Je suis le genre de fille qui se retourne pour un oui ou un non donc je suis sûre que je réagirais.
► CITATION : En amour comme à la guerre tous les coups sont permis !

On se dévoile

My Little Life
► DC : NON
► MON AGENDA:

FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  Vide
MessageSujet: FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS    FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  I_icon_minitimeVen 24 Aoû - 14:58
FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  Tumblr_m94arljp6t1rr7s9n
Il était 5 heures du matin alors que je me réveillais. Active déjà dès l’ouverture de mes yeux. C’était ce qu’il y avait de bien dans le fait de dormir toujours assez tôt enfin du moins en semaine : j’étais toujours prête pour ma journée au réveil. Et là, quelle journée. J’allais entrer dans ma chambre au camp. Bien sûr, j’avais déjà un peu investie les lieux mais disons que j’installais mes valises en quelques sortes. J’y étais déjà allée sous une apparence un peu masculine à vrai dire. Me faisant passer pour mon frère depuis son départ. Je sais, c’est très mal de mentir. J’avais un peu peur d’arrivée en avance par rapport aux autres. Enfin bref, je m’apprêtais brièvement. Une douche, une bonne et longue douche même sans oublier le maquillage mais rapide. Vraiment rapidement. Un petit coin devant la glace. C’était étrange, pendant que je me maquillais, j’avais la curieuse impression de quitter la maison alors que c’est complétement idiot, elle n’est qu’à 20 minutes en voiture et encore : je suis trop gentille. Je prenais alors une un minishort et un caraco en les enfilant aussi tôt avec des ballerines assorties. Rien de bien compliqué. Au fond, j’allais faire juste deux ou trois cartons et hop : en voiture. J’attachais rapidement mes cheveux en chopant les boites. Rapidement, j’y mis quelques petits gadgets. Un cadre photo de mon enfance avec Matthew et diverses fringues ou même souvenirs que je voulais emporter. Une fois tout emballé, j’allais à la voiture pour les embarquer. J’avais pris mon oreiller aussi, mon pouf et ma table de nuit. Dans mon souvenir, je n’en avais pas dans la chambre et j’en avais toujours besoin. J’adorais y mettre mon bouquin après ma lecture. Des habitudes du quotidiens qui reviennent rapidement et ne parte jamais. Bien sûr, c’était papa qui l’avait porté, elle était bien trop lourde pour moi. Je fermais le coffre en allant vers ma place du conducteur, me mettant alors à traverser les 20 minutes de routes qui me séparaient du camp. Une fois arrivée, je me garais près de l’entrée du dortoir en allant aussitôt au coffre. Il y avait deux ou trois étudiantes par ici et par-là qui allaient et venait. Normal, c’était l’heure du petit déjeuner. Je n’avais cependant pas encore faim. J’avais une heure assez fixe pour manger et il était encore trop tôt pour mon petit estomac qui ne gargouillait point encore. Cependant… ça allait bientôt arriver. Je prenais deux cartons et j’allais en direction de la porte. Bien sûr, j’avais un mal fou à arriver aux escaliers ou même aux ascenseurs. Enfin je faisais tout ça avec brio. Me menant à ma chambre aussi rapidement que possible et donc : pas vraiment rapidement.

Après une heure, il ne restait que la table de nuit. Mon ventre gargouillait et j’en entendais même ses cris de famines. J’inspirais doucement en tentant de porter la table mais elle ne semblait pas vraiment bien tenir. Rapidement, je la reposais pour trouver comment la rattraper. C’est là que je réalisais à quel point j’étais bête. Je n’avais même pas pensée à la porter comme une grande quand papa l’a mettant dans la voiture. Il fallait dire que je n’ai pas réfléchie. C’était bête d’en oublier que j’aille devoir à mon tour la porter ici. Je prenais un peu plusieurs postures, étudiants le meuble. Je tentais de trouver la meilleure façon de procéder. Ce n’était pas vraiment facile. Je me relevais sans trop savoir comment j’allais faire. Regardant autour de moi si personne ne pourrait m’aider. Ils étaient déjà tous en pause déjeuner. Je soupirais en prenant mon portable et regardant les numéros. Je me disais que je pourrais appeler Mattéo ? Il pourrait m’aider mais non : pas une bonne idée, sérieusement. Il devait bien être occupé à s’occuper de sa fiancée. Sa fiancée aussi peut-être ? Non pas une bonne idée non plus même si c’est ma meilleure amie. Je soupirais en regardant brièvement si Matthew ne m’avait pas appelé mais rien. Depuis avoir reçue cette lettre, j’attendais un signe de lui. Je me posais contre le meuble en mode : assise. Comme ses filles à Hollywood sur leur bagage. Cela m’amusait mais je me sentais un brin ridicule. C’est alors que je me relevais aussitôt en tentant à nouveau de porter cette table. Il fallait bien que je le fasse. Non mais c’était essentiel que je l’entendre dans le bâtiment car elle fait tâche au milieu d’une allée. Je prenais à nouveau la table de nuit d’un bois brut entre mes bras et aveuglement, j’allais vers la porte mais c’est alors que je fonçais directement vers celle-ci qui était fermée. J’étais persuadée qu’elle était ouverte et punaise : qui l’avait fermée ? Je l’avais coincée. Je grommelais quelques injures brièvement en faisant une moue. « A l’aide ! », soufflais-je en posant un peu le meuble contre ma cuisse le temps de trouver la poignée de porte. Ca faisait un mal de chien : bonjour le coup bleu. On allait me prendre pour une Melo battue ! « Oh punaise, ça fait un mal de chien mais ça pèse une tonne ce bazar ? A l’aiiiiiiide ! », il était rare que j’appelle à l’aide. Là ? C’était le cas. J’étais en général loin de la demoiselle en détresse. J’avais beaucoup de mon frère. C’est alors qu’une main venait m’aider en relevant un peu le meuble. Je tentais de tourner mon regard vers la personne mais j’étais un peu bloquée. C’est juste un « Merci, vraiment ! », qui s’échappait de mes lèvres avant que l’autre main ne lâche aussi et que le meuble parte de l’autre côté…


Dernière édition par Melody S. Cooper-Fawkes le Lun 27 Aoû - 0:59, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
https://alwayshigher.forumgratuit.be/ 


Franciszek C. Maisel
✿ PSEUDO : BN/Panda
☂ AVATAR : Liam Hemsworht
► PAYS : Belgique
► POINTS : 52
► BIRTHDATE : 15/08/1988
► MESSAGES : 42
► BOUGIES : 35
► REGISTRATION : 24/08/2012

Always higher
Never forget where you come from ► AGE : 21 ans
♥ LOVE : ...
► SPORT : Basket-ball
► SURNOMS : Fran, Franci

On se dévoile

My Little Life
► DC :
► MON AGENDA:

FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  Vide
MessageSujet: Re: FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS    FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  I_icon_minitimeSam 25 Aoû - 13:38
Je me réveillais dans ma chambre, j'étais venu m'installer dans la journée d'hier, c'était donc ma première nuit de cette année que je passais ici. Une nouvelle année qui s’annonçait au moins aussi haute en couleur que les précédentes. Il me fallut bien quelques minutes pour m'extirper de mon sommeil. Et une fois sortie de ma léthargie matinale, je me mis en mouvement directement pour rester bien éveillé, commençant par une série de pompes et d'abdos, ça me permettait de rester en forme, et de bien me réveiller. Je m'habillai en tenue de sport et alla courir une bonne demi heure, faisant le tour de tout le complexe avant de revenir dans ma chambre prendre mes affaires de douche. Ce tour m'aida tout de même à reprendre mes marques, à chaque endroit où je passais je me remémorais les souvenir déja passé à ces différents endroits, la nostalgie. Cet endroit commencait à être rempli de pas mal de souvenirs, je me rendis compte de l'importance qu'il avait à présent pour moi. Pour moi ce n'était pas qu'un camp, c'était bien plus, c'était comme mon deuxième chez moi. Au moment de prendre ma douche je me souvins à quel point c'était toujours si détendant, une bonne douche après un effort physique. Cela me faisait toujours un bien fou, même si je ne prenais pas un temps particulièrement long, je prenais juste le temps qu'il me fallait.

Une fois la douche finie, à mon regret, je me mis vers le chemin retour jusqu'à ma chambre. Je me rhabillai, je mis un short noir en toile tombant jusqu'en dessous des genoux, un t-shirt sans manches gris avec des motifs en blanc, ainsi que des baskets noires et rouges. Et lorsque je terminais de lasser mes chaussures, j'entendis tout à coup une voix féminine appeler à l'aide. Je ne pus m'empêcher de souffler en me disant qu'il fallait bien que j'aille voir, tous les élèves n'étaient pas encore venus s'installer. Et donc il y avait peu de gens qui auraient pu venir à l'aide de cette fille. Je me résolus à sortir calmement de ma chambre, et j’aperçus la jeune fille coincé sous cette table, assez ridiculement il faut bien le dire.

Je me dirigeai donc vers elle, soulevant la table d'une main pour qu'elle puisse se dégager. Et en la soulevant je compris que pour une fille de son gabarit, la table était bien trop lourde. C'était un peu quelque chose que je ne comprenais pas, les gens qui ne savaient pas où s'arrêtaient leurs capacités physiques. Mais bon, je n'allais pas non plus la laisser coincée sous cette table. Elle me remercia sans me regarder car sa situation ne lui permettait physiquement pas de le faire. Elle finit par réussir à se dégager, et je lui répondis alors en me relevant du haut de mon mètre nonante-six ou quatre-vingt-seize.


Y a pas de quoi

Je ne rajoutai rien, n'étant pas quelqu'un de particulièrement bavard avec les gens que je ne connais pas, et même aussi avec les gens que je connais. Et je me rendis compte enfin que, mine de rien, cette fille était très mignonne, quoi qu'un peu maigrichonne pour une élève du camp. Peut-être n'était-elle qu'une pom-pom girl, pour moi ce n'était pas vraiment une discipline, mais je ne le criais pas non plus haut et for. Chacun a sa propre passion et je le respectais. Mais bon, quand même, bouger dans tous les sens en agitant des boules de poils, je ne comprendrais jamais l'intérêt.
Revenir en haut Aller en bas
 


Melody S. Cooper-Fawkes
✿ PSEUDO : Crazy Bunny
☂ AVATAR : Nina Dobrev
► PAYS : Belgique
► POINTS : 240
► BIRTHDATE : 10/01/1989
► MESSAGES : 186
► BOUGIES : 35
► REGISTRATION : 15/07/2012

Always higher
FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  Tumblr_lro7q6gkih1qbmw3bo1_500 ► AGE : ... à venir
♥ LOVE : Célibataire
► SPORT : Football&Gymnaste
► SURNOMS : Mel, Mely, Melo, Melo Cake, Cake, Caky, Ode, Sab' en fait... vous voyez. Je suis le genre de fille qui se retourne pour un oui ou un non donc je suis sûre que je réagirais.
► CITATION : En amour comme à la guerre tous les coups sont permis !

On se dévoile

My Little Life
► DC : NON
► MON AGENDA:

FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  Vide
MessageSujet: Re: FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS    FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  I_icon_minitimeSam 25 Aoû - 15:58
L’homme est d’une nature généreuse. On s’entraide tous. Nous sommes des êtres vivants exceptionnels ? Ou pas tous. Nombreux ne servent qu’à nous rendre la vie pénible. On tolère, on ne tolère pas. Là, j’avais besoin d’aide et personne en vue. J’étais dans une bien étrange situation. Pourquoi les couloirs devaient être tellement déserts alors que j’y passais. Il fallait toujours que ça tombe sur moi ! Toujours. Moi et ma chance bien hasardeuse. Je soupirais en tentant alors de le porter et alors qu’une personne venait m’aider alors qu’il était temps que je me décide à abandonner tandis que la porte se montrait loin d’être pratique pour aller dans le bâtiment. Pourquoi avais-je entrepris de la prendre ? Pour tout vous dire, je ne m’étais même pas rendue compte de la difficulté quand il serait le moment de le monter à la chambre ou même que si je n’arrivais pas à le porter correctement en voiture cela serait impossible. Le poids n’était pas le plus dérangeant, je crois que c’était la manière de l’attraper et mes bras pas si long. Après tout ? Je pouvais bien soulever mon propre poids en entrainement donc pourquoi pas un stupide meuble ? Une bête table de nuit qui devait surement même ne pas faire les 10 kilos ? C’était juste qu’il fût un peu large. La pratique, je ne l’avais pas. Je me voyais mal en déménageur. Je crois que ça pourrait rapidement craindre. J’inspirais doucement en sentant que l’on m’aidait et soupirant, rassurée tout en le remerciant. Je n’arrivais pas vraiment à m’en débarrasser en fait alors qu’il me disait qu’il n’y avait pas de quoi… le meuble glissait pour aller se prendre le mur. Un bois contre un mur ? Merci les éraflures sur ce meuble bien joli. Je fis une moue en regardant celui-ci et le laissant callé comme un dé cassé que l’on devrait visiblement relancer et curieusement ? Je voulais bien lancer le meuble pour qu’il se décide à être plus sympathique avec moi. Moi qui prenais souvent la poussière dessus. Roh ! J’inspirais doucement en allant me retourner vers mon secoureur. Au début, je me retrouvais face à un haut de torse enfin à peu près, j’étais à hauteur du début de son coup. C’était une girafe ? Je riais nerveusement en relevant la tête vers lui avec un sourire. Qu’est-ce que j’allais faire ou dire ? Là ? C’était une bonne excuse. Je suis une jeune fille sympathique et toujours pleine de vie malgré mon passé. Je m’en fiche bien de ce qu’on pourrait penser de moi. Que je sois la fille de Greeley qui s’est retrouvée à l’hôpital pour des raisons dites suicidaires ou même la fille d’un pasteur que l’on force à croire en dieu, je m’en fichais. Rien ne pourrait être pire que le jugement de notre propre mère alors si je paraissais cinglée ou même bizarre en ce moment-même. Je m’en fichais et c’est simplement que j’ouvris la bouche en grimaçant un peu. « Je crois que moi et ma table de nuit allons divorcer, je vais peut-être m’inscrire sur un nouveau site de rencontres. », disais-je bêtement et ironiquement bien sûr. Je vous rassure, je ne suis point mariée à un meuble en fait : je ne suis avec personne. J’inspirais en regardant celui-ci et affichant un grand sourire. « Merci encore ! », soufflais-je en me sentant reconnaissante. « J’ai cru que tout le monde avait fuis le camp rien que pour éviter de me secourir. Je sais que je fais peur mais à ce point ! », je ne faisais pas spécialement peur mais je voulais juste me sembler pendant un instant : amusante. Mes blagues peut-être pourries suffisaient parfois à afficher les rares sourires sur mon visage. Il fallait avouer que je n’étais pas toujours des plus gâtées en ce moment. Une meilleure amie fiancée, bon d’accord c’est encore potable mais quand c’est au garçon que tu aimes depuis plus de deux ans. Tu te dis clairement que c’est la merde. Je les évitais et je me retrouvais seule surtout depuis le départ de Matthew. Ça craint. L’humour était ma seule échappatoire même avoir un inconnu. Il semblait par contre taciturne. « Je me présente… », soufflais-je légèrement en souriant. Je tentais un rapprochement en lui tendant alors la main. Je regardais alors mon meuble en riant. « Melody Fawkes ! », ce n’était pas pour la pratique que je retirais le Cooper mais bêtement par ce que le prononcer me rendait malade. Ma mère étant une Cooper. J’inspirais en attendant peut-être qu’il prenne ma main ou se présente. Je baissais à nouveau le regard vers ma table en riant. « La reine des gaffes et très douée pour porter des meubles bien plus larges qu’elle. La pauvre ! », je passais une main sur mes cheveux attachés en fronçant les sourcils et secouant la tête. « Puis-je demander à un charmant jeune homme de m’aider à monter ce meuble à ma chambre ? Je lui en serais reconnaissante et je promets de vous donner des… », je réfléchissais sur le coup à la connerie que j’allais balance. « Des biscuits ? », rajoutais-je au final comme une crétine qui avait peur que l’on parle de payements en natures.
Revenir en haut Aller en bas
https://alwayshigher.forumgratuit.be/ 


Franciszek C. Maisel
✿ PSEUDO : BN/Panda
☂ AVATAR : Liam Hemsworht
► PAYS : Belgique
► POINTS : 52
► BIRTHDATE : 15/08/1988
► MESSAGES : 42
► BOUGIES : 35
► REGISTRATION : 24/08/2012

Always higher
Never forget where you come from ► AGE : 21 ans
♥ LOVE : ...
► SPORT : Basket-ball
► SURNOMS : Fran, Franci

On se dévoile

My Little Life
► DC :
► MON AGENDA:

FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  Vide
MessageSujet: Re: FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS    FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  I_icon_minitimeSam 25 Aoû - 17:11
En venant l'aider, je ne comptais pas réellement m'éterniser, disons que je ne suis pas le genre de mec le plus expressif qui soit. Et cela n'avait aucun rapport avec la personne en face de moi, c'est juste que je préfère parler peu mais bien, je n'aime pas aller par quatre chemins pour dire quelque chose. Tous les détours de conversations, cela m'ennuyait, je ne voyais juste pas l'intérêt de faire plein de détours pour dire juste quelque mots au final. Quand quelqu'un le fait avec moi, j'ai un peu l'impression qu'il me prend pour un imbécile. Certains voyaient en cela une sorte de froideur, de réticence, ou du dédain. Mais ce n'était pas ça du tout, peut être que mon éducation y avait joué un rôle ainsi que là d'où je venais, la plupart des gens sont comme ça, ils se disent ce qu'ils ont à se dire, sauf les femmes bien entendu qui ont toujours mille chose à se raconter, même en Pologne. Quand j'étais venu ici pour la première fois, je dois avouer que le choc des différentes origines, des différentes cultures n'a pas été de tout repos, j'ai dû m'habituer, mais pas changer pour autant. Je suis qui je suis, je viens d'où je viens, et il n'est pas question de changer juste pour plaire à certains. C'était ma philosophie de vie, je suis comme je suis, et si ça te pose problème, et bien je m'en fous comme de l'an 40. Je ne m'intéresse pas à ceux qui ne m'acceptent pas comme je suis, comme par exemple ceux qui me détestent par jalousie à cause de cette pub Nike, au moins elle m'a permis de m'aider à payer une partie de mes études et des frais qui vont avec. Ce n'était pas non plus comme si je m'en vantais, contrairement au fait que je suis arrivé ici avec le soutien de Michael Jordan en personne. Mais bon c'est le genre de truc parfait pour faire les taire les réticents à mes capacités de basketteur.

Cette jeune fille, elle était...bizarre, enfin, ce n'était pas vraiment ça, elle était plutôt...hors du commun, hors de la norme. En tout cas, c'était l'impression que j'avais eu lorsqu'elle ouvrit la bouche après s'être relevée. Au début, j'eus un regard perplexe, et je finis par sourire à son histoire de divorce et de sites de rencontre avec son meuble. Elle me remarcia pour la seconde fois. Je lui répondis alors un peu machinalement sans réelle sympathie.


De rien.

Elle se plaignait d'avoir l'impression que tout le monde avait fui pour ne pas la secourir, et qu'elle ne pensait pas faire aussi peur que cela, je n'hésita pas à lui faire partager mon avis sur la question.

Les gens ont souvent peur des personnes qui sortent de la norme.

Pour moi, c'était ça, elle était très particulière comme fille, je n'en avais jamais vu d'aussi...spéciale. Mais ce n'était pas dans le sens négatif que je l'avais dit, et pas non plus vraiment positif. Dans ma conception des choses, c'était juste un fait. Je ne pense pas avoir changé un jour, j'ai toujours été comme ça, très pragmatique. Cela devait certainement venir de mon origine de fils de fermier, à la ferme il faut rentabiliser son temps en fonction de toutes les taches à réaliser, il n'y a pas de place pour le superflu. La jeune demoiselle finit par se présenter sous le nom de Melody Fawkes en me tendant la main, je pris sa main dans la mienne en essayant de ne pas la serrer trop fort. Je dois avouer que j'avais l'impression que sa main était toute petite. Mais je n'y accordais pas de réelle importance. Je me présenta à mon tour en lui serrant la main toujours avec mon air sérieux.

Franciszek, Franciszek Maisel.

Certaines personnes se présentent directement sous un surnom ou sous un diminutif, mais pour moi, cela était réservé aux personnes que je connaissais bien. C'était plus un principe qu'on m'a inculqué sans vraiment me le dire qu'une décision prise un jour. Elle se mit à parler d'elle à la troisième personne en se surnommant la Reine des gaffes. Cela me perturba un peu, puis finit par me faire sourire brièvement. Elle me demanda gentillement de l'aider à porter le meuble que j'attrapa dès qu'elle eut fini. Une fois le meuble entre mes mains, j'eus une idée, le genre qui était bien propre à moi. Je la regarda et d'un ton ferme et dissuasif, je lui dis

Personne ... ne ... me ... propose ... des ... biscuits.

Je me doutais que j'avais dû fortement l'intimider, je me mis alors à faire à peine deux pas dans la direction où elle se rendait avant de tomber, puis je me résolus à lui faire comprendre ce que j'avais derrière la tête. Je m'arrêta et regarda derrière moi avec un sourire en coin farceur en la prévenant

Mais je ferai une exception pour cette fois, jeune demoiselle.

Je lui fis un petit clin d'oeil, avant de continuer à avancer, attendant aussi qu'elle me dise où poser cette table.
Revenir en haut Aller en bas
 


Melody S. Cooper-Fawkes
✿ PSEUDO : Crazy Bunny
☂ AVATAR : Nina Dobrev
► PAYS : Belgique
► POINTS : 240
► BIRTHDATE : 10/01/1989
► MESSAGES : 186
► BOUGIES : 35
► REGISTRATION : 15/07/2012

Always higher
FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  Tumblr_lro7q6gkih1qbmw3bo1_500 ► AGE : ... à venir
♥ LOVE : Célibataire
► SPORT : Football&Gymnaste
► SURNOMS : Mel, Mely, Melo, Melo Cake, Cake, Caky, Ode, Sab' en fait... vous voyez. Je suis le genre de fille qui se retourne pour un oui ou un non donc je suis sûre que je réagirais.
► CITATION : En amour comme à la guerre tous les coups sont permis !

On se dévoile

My Little Life
► DC : NON
► MON AGENDA:

FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  Vide
MessageSujet: Re: FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS    FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  I_icon_minitimeLun 27 Aoû - 1:26
L’on n’a jamais le temps dans une vie pour être sérieux. L’on perd notre temps pour être sérieux en fait. Quand l’on peut avoir une sorte de petit piquant qui nous rend plus attractifs. J’étais ainsi. Je ne voulais pas parfois perdre mon temps à me morfondre car croyez-moi. Je le ferais souvent. Mon meuble était dans un sacré pétrin et j’arrivais à faire de l’humour. Peut-être que cet humour passerait ou pas avec ce jeune homme ? Clairement ? Je n’en avais aucunes idées et qui ne tente rien, n’a rien. Je le faisais. Un humour tournant autour d’une table et d’un divorce enfin des millions de choses qu’une personne typiquement normale et coincée ne s’autoriserait surement jamais à dire. Je connais beaucoup de ses filles qui n’ont pas un brin de folie dans le sang. L’on s’ennuie souvent avec elles. En général l’on fait même les girouettes pour leur décrocher un rire enfin c’est ce que je fais en temps normal quand je suis en leur compagnie. La girouette et oui. Girouette, Cacahuète ! Cela fonctionnait ou pas, elle m’appréciait ou pas. Je m’en fichais. Je me fiche un peu de ce qu’on pense de moi. C’est ce qui me rend tellement spéciale. Je riais alors qu’il me disait encore de rien, je l’avais déjà dit mais au fond, rien d’étrange car j’avais encore envie de le dire. Remercier et toujours remercier. Une maladie que j’avais bien souvent. Merci et merci et puis encore merci. Sans oublier que je vouvoyais tout le monde enfin presque mais là alors que je me plaignais, je ne pus m’empêcher de rire en l’entendant. « Hum… ils ont raisons… j’aime bouffer certaines personnes parfois… enfin pas vraiment ! », je le prenais bien pour tout vous dire. J’adorais être ainsi. Loin de la norme. J’aimais ce petit brin de folie qui me rendait un peu plus unique que tous les clones que l’on croise en rue. J’étais fière de ce que j’étais devenue tout en doutant parfois encore bien souvent de moi. Je n’avais pas toujours eue mon piquant et ma pêche de vivre enfin si mais pas autant : forte. Je voulais vivre, je voulais sentir la vie et je voulais en profiter comme si j’avais presque voulue perdre cette vie à une époque même si c’est indirectement le cas.

Là, je me présentais encore l’une des choses qui étaient maladives en fait, j’étais une polie maladive. Je remarquais bien qu’il pourrait surement avoir 36 de mes mains dans la sienne… quoique peut-être pas mais j’avais serrée de bien plus importantes petites mains dans mes 20 années de vie. Même pas peur et puis je m’y connaissais bien en main. J’avais toujours la main pour en apprendre des millions de choses. Un de mes hobby’s était en fait de lire entre les lignes des mains. Là, je ne m’en préoccupais pas. Bien trop occupée à me présenter en attendant les siennes. J’hochais doucement la tête en l’entendant avant de lui décrocher un sourire. « Enchantée… », je me posais un peu la question de ses origines. J’avais déjà rencontrée des personnes d’un peu partout dans ce camp et même dans ma vie mais j’étais assez intriguée cette fois-ci. J’en venais ensuite à même lui demander de l’aide pour monter mon meuble de ses bras bien plus longs que les miens. Il fallait dire que j’avais encore usée d’un humour bien décalé en parlant de moi donc à la troisième personne mais au fond, c’est ce qui donne du piment à une vie amusant et pleine de folie. A quoi bon se résoudre à être coincée quand on est une fille prête à profiter de la vie. Attention, je ne dis pas que les autres filles sont coincées sous prétexte qu’elles ne sont pas aussi folles que moi. Je souriais quand il attrapait le meuble sans même rechigner et d’ailleurs je m’amusais même à avoir envie de le chatouiller pour voir s’il tiendrait plus longtemps que moi avec cet engin entre les bras mais cependant : je me retenais. Cela ne serait point une bonne idée de jouer ainsi avec un inconnu à la petite fripouille. L’on allait éviter de se faire remarquer encore plus car la norme, je ne voulais pas en être mais bonne à enfermée, non plus. C’est alors qu’il me disait ne pas vouloir que l’on lui propose des biscuits que j’arquai un sourcil. « Mais tout le monde aime les biscuits ! », disais-je en laissant les mots échapper de mes pensées surtout. Je riais nerveusement. « Je peux t'offrir quoi alors ? », là, je croisais les doigts en priant qu’il ne me propose pas des choses que je ne ferais jamais. Oh non, jamais. Peut-être pas aussi vite en tout cas car je n’étais pas vraiment en forme olympique pour séduire les gens ou surtout les hommes. Le jour où je séduis une femme : il faudrait nettement se poser des questions. Je ne montrais pas de suite cet instant ou je doutais de ce que j’aurais dû lui proposer. Je ne voulais pas passer pour la perverse qui voyait directement cette idée bien brusque. Je soufflais, soulagée alors qu’il disait faire exception alors que je grimpais aussi els étages pour aller au deuxièmes en direction de ma chambre. « Voilà qui est fortement plus facile. Je n’ai rien d’autres à proposer dans l’immédiat. », L’immédiat ? Oui car au fond, qui sait ? Il fallait bien que je remonte en scelle dans un sens car je n’aurais jamais Mattéo, jamais plus. Plus de chances. Il est fiancé. L’espoir fait vivre. Je l’avais simplement laissé filer. Enfin rapidement nous arrivions à ma chambre, j’ouvrais la porte en souriant. « C’est ici, tu peux la poser à côté du lit, là ? », demandais-je en affichant un sourire charmeur. Séduire pour un service ? Ça, je savais le faire et j’espérais vraiment que cela soit efficace. Je reculais en ouvrant plus la porte pour ne pas être dans le chemin tandis que j’attendais que le meuble soit posé pour aller chercher ma boite de biscuit car je mourrais de faim et aussi victorieusement. J’en brandis un devant lui. « La récompense du prince… », disais-je assez fière.
Revenir en haut Aller en bas
https://alwayshigher.forumgratuit.be/ 



On se dévoile

FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  Vide
MessageSujet: Re: FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS    FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS  I_icon_minitime
Revenir en haut Aller en bas
 
 

FRANCISZEK ♣ OUPS, JE CROIS QUE J'AI UN SUSHIS

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
ALWAYS HIGHER ™ • votre camp sportif ::  :: Résidences des sportifs :: Girl's home :: Rez de Chaussée-