« James, tu sais jte vois » J’ai environ dix ans et je regarde ma demi sieur se déshabiller dans les vestiaires. Elle sait que ca me travaille et elle s’en amuse. Moi j’ai toujours été ainsi, attiré par le sexe opposé et ca a commencé très tôt. Ma mère ne comptait plus les filles que je l’avais reluquée. Même la baby sitter avait finit par avoué que je la regardais bizarrement. Moi ‘étais qu’un gosse, c’et plus tard que ca c’est corsé. J’avais une sale manie de jouer au tombeur. A treize ans toutes les gamines pensaient au bel anglais brun. Mes yeux y sont pour quelque chose, je le sais, je ne suis pas moche et gamin je l’étais déjà pas. J’en joue et pas qu’un peu. Au départ, je ne savais absolument pas ce que je comptais faire, à force, j’ai fini par découvrir, à la dure ce que j’allais faire de ma vie.

« James ça va ? » Comment ça va ? Elle se fiche de moi ? J’étais au sol, après un match de foot et je ne pouvais pas me lever tant la douleur était forte. Le résultat fut annoncé à l’hôpital, cheville explosée. Jouer au foot je m’en foutais un peu, ce qui m’emmerdait c’est de devoir avoir des béquilles et tout le reste. Au bout d’un mois j’étais devenu fou à force d’être inactif, alors je me baladais quand même. La rééducation se fit lente, trop lente à mon gout et je crois que je suis tombé plusieurs fois à force de forcer. Ce qui fait qu’aujourd’hui j’ai la cheville ultra fragile, le comble pour mon métier non ? Mais c’est ce qui me décida. Je me mis à me renseigner sur le job et voilà, je savais, je serais Kiné. Ce n’était pas facile et il ya avait pas mal d’études, mais quand j’avais en tête un truc, je lâchais jamais. Mes parents étaient pour, après tout, ça paye bien. Ils espéraient surement que je me case aussi, raté..

Pourquoi Kiné ? Parce que la mienne était ultra sexy et que je me ruais pour la voir. Les massages etc, j’y étais accro. Je savais que c’était un bon filon pour avoir eut des echo de mecs. J’avais dix huit ans et tout ce à quoi je pensais, c’était les femmes. J’en ai rencontré, j’en suis tombé amoureux – deux fois – mais j’ai vite comprit que ca n’apportait rien. La première. Sarah. Une vraie perle, gentille, sexy et tout ce qu’il fait. Mais une propension à la tromperie. Résultat elle a prit la porte plus vite que prévu. La seconde fut Ana. Ana était parfaite et surtout ne voulait pas qu’on attache une étiquette à notre relation mais j’en ai vite eut marre de voir tous ces mecs prête à tout pour la récupérer. Ce fut mes seules expériences. Et puis je suis arrivé au camp et là, des choses ont changé.

Je suis diplômé à présent et je soigne les jolies filles – et mecs parfois – de ce camp. Nombre de gamines font exprès de se blesser ou prétendent l’être pour avoir droit à mes soins ou massages. Ca me fait rire en général.. Et puis il y eut Tabby. Sexy, marrante, attachante.. On s’est envoyé en l’air un soir, on s’est bien amusé, jusqu’à ce que je découvre qu’elle n’était qu’une des étudiantes. « Tu comptes me faire chanter ? Sérieusement ? » Un petit sourire et j’étais piégé. Elle se servait de moi pour sécher les cours ou autre. Si je disais un mot elle me dénoncerait. Ca ne m’empêche pas de recommencer, je crois que je n’apprendrais jamais de mes erreurs. Dans un domaine différent il y eut Aleandra. Très belle femme attirante, on est sorti un soir, ca s’est bien passé mais ca n’a mené nulle part. On se voit, on se parle, on est plus ou moins amis, une amie que je trouve très attirante mais ca n’a pas dépassé ce stade.



Je ne crois pas vraiment en l’amour. Je pense que jouer est plus jouissif. On ne s’attache pas et on a le choix. Il ya tant de poissons dans la mer, pourquoi se contenter d’une seule, n’est ce pas ? Et puis je peux le dire, j’ai un succès assez inestimable auprès des filles, je ne risque pas de lâcher ça. Certaines me disent qu’à vouloir jouer on finit par ne jamais grandir. Mais qui vous dit que j’en ai envie. Restez avec la même femme toute votre vie, regardez là passer de bombe à femme au foyer avec enfants, moi, je croque la vie à pleine dents et ça me va. « James, t’a vu la blonde ? La nouvelle ? » Et pouf, on es tous les trois à mater le cul d’une des files du camp. Un passe temps qui me demande beaucoup d’effort, un peu comme ne pas m’envoyer mes patientes.. Vos n’imaginez pas l’effort que c’est.